Cabinet Yann Botrel

Mon blog et actualités

  • Les différentes phases du sommeil

    Pour le commun des mortels, le jour est fait pour travailler et la nuit pour se reposer en passant un bon moment de sommeil. Ce moment est constitué des phases essentielles pour aboutir à un repos plaisant. L’endormissement, le sommeil lent (léger et profond) et le sommeil paradoxal constituent en effet successivement les phases du sommeil. Vous vous posez certainement la question de savoir tout le mécanisme qui se déroule quand vous dormiez. Alors à travers cet article nous essayerons de comprendre les phases du sommeil et le cycle normal pour un sommeil réparateur. 

     

    Hypnose lyon

     

    Mécanisme du sommeil

    Comme déjà énuméré plus haut, le sommeil est essentiellement constitué de trois phases à savoir : l’endormissement, le sommeil lent (léger et profond) et le sommeil paradoxal. 

    Tout d’abord il est important de savoir ce qu’est être dans un état de sommeil. En effet, le sommeil est l’opposé de l’état de veille, qui est caractérisé physiologiquement par un état de ralentissement de certaines fonctions de l’organisme et pendant lequel la vigilance est suspendue. Cet état est sans perte de la sensibilité sensorielle. Ceci étant, vos organes de sens sont très bien fonctionnels. 

    Les phases que constituent le mécanisme du sommeil  sont caractérisés par : 

    L’endormissement

    Elle correspond à la période de transition entre l'état d'éveil et l'état de sommeil. La respiration ralentit et les muscles se détendent. Durant cette phase de demi-sommeil, les personnes peuvent avoir l'impression de « tomber » dans le vide ou de convulser. Elle dure généralement de 5 à 20 minutes (5 à 10 % du temps de sommeil). Plus de 30 minutes, il vous rappellera l'insomnie. Il est recommandé d'en parler à votre médecin.

    Le sommeil lent 

    Pendant la phase de sommeil lent, l'activité électrique du cerveau ralentit. Habituellement, lorsque vous êtes dans un état calme et éveillé, la fréquence de l'activité électrique dans le cerveau est de 8 à 12 Hz. Lorsque vous êtes endormi, l'activité électrique du cerveau est très lente, jusqu'à 1 Hz. dormir », a déclaré le Dr Mark Rey. Cette phase lente est constituée de deux phases importantes à distinguer :
     

    La phase de sommeil lent léger représente près de la moitié de votre temps de sommeil. Elle se caractérise par un ralentissement de l'activité cérébrale. A ce stade, on se réveille facilement.

    La phase de sommeil lent profond représente environ 20 % du temps de sommeil. A ce stade, l'activité cérébrale est très lente, la respiration et le rythme cardiaque sont réguliers. Les dormeurs tombent dans un état où le cerveau devient de moins en moins sensible aux stimuli externes (bruit, lumière, etc.). Il était alors difficile de se réveiller.

    Le sommeil paradoxal 

    Cette étape est également appelée sommeil paradoxal (REM) et représente environ 20 % du temps de sommeil. Par conséquent, l'activité cérébrale est plus intense, accompagnée de mouvements oculaires. Pendant le sommeil paradoxal, il y a une activité électrique dans le cerveau de l'individu comme s'il était éveillé ou presque endormi. Cependant, d'un point de vue comportemental, l'individu dort très bien et ses muscles sont paralysés. C'est pourquoi cette étape est d’ailleurs appelée sommeil paradoxal. 

     

    Quelle est la durée d’un cycle de sommeil ?

    Généralement, un cycle de sommeil dure environ 90 minutes et pendant la nuit nous pouvons compter environ 3 à 6 cycles. Mais ce nombre varie en fonction de l’âge et ne sont pas tous les mêmes. Par exemple, le temps de sommeil lent profond a tendance à diminuer avec le vieillissement.

    Le temps de sommeil peut être divisé en deux temps à savoir : la première moitié qui est particulièrement riche en sommeil lent profond alors que la deuxième moitié est particulièrement riche en sommeil lent léger et en sommeil paradoxal. 

     

    Lorsqu'on se réveille par exemple 20 minutes avant son réveil, il est préférable de se lever plutôt que de se rendormir et de démarrer un nouveau cycle. Le réveil risque d'interrompre un cycle et d'être trop brutal", 

     

    Quelle est la phase où le sommeil est le plus réparateur ?

    Le sommeil lent profond est la phase la plus réparatrice pour l'organisme. Pendant cette phase, le corps récupère le plus de la fatigue physique accumulée pendant la journée. 

    Par ailleurs, on rêve tout au long de la nuit, mais les rêves sont plus rares pendant le sommeil lent que pendant le sommeil paradoxal. En effet, c'est pendant le sommeil paradoxal que les rêves sont les plus abondants, les plus riches en imagination et constructif.

     

    Que faire si je n’ai pas sommeil (troubles du sommeil) ?

    L'insomnie peut entraîner des difficultés à s'endormir, à se réveiller plusieurs fois la nuit et à se réveiller trop tôt le matin. Si elle survient plus de 3 fois par semaine et dure plus de trois mois, elle est dite chronique ou sévère. Les personnes anxieuses ne peuvent généralement pas se détendre au coucher car elles répètent leur journée et leurs soucis. Les personnes stressées s'endorment à 4 ou 5 heures du matin. Enfin, les personnes déprimées sont souvent victimes de se réveiller tôt au milieu de la nuit.

     

    Pour y remédier, il vous revient de trouver la cause et de consulter un médecin pour le guérir. Si vous avez du mal à dormir, cela n'a pas de sens de rester éveillé plus de 20 minutes au lit. Mieux vaut se lever et faire autre chose. De même, il est conseillé de toujours se lever dès le réveil le matin. Enfin, les siestes dans la journée ne doivent pas dépasser vingt minutes.

     

    Comment éviter alors un sommeil troublé ?

     

    Voulez-vous un sommeil apaisant, sans trouble ? Alors voici quelques conseils qui vous permettrons de ^dormir sans être perturber :

    -      éviter tous les excitants le soir ; 

    -      ne pas faire un dîner trop grand et bannir l'alcool ;

    -      éviter de pratiquer du sport après 19 heures ;

    -      privilégier les activités relaxantes (musique, lecture) ;

    -      allez-vous coucher dès les premiers signes de fatigue (bâillements, yeux qui piquent…) ;

    -      dormir dans une chambre à température entre 18 et 20 °C.

    L'hypnose sur Lyon peut être une bonne solution pour retrouver le sommeil. 

  • Le stress post traumatique

    Le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est un trouble de santé mentale déclenché par un événement terrifiant, qu'il s'agisse de le vivre ou d'en être témoin. Les symptômes peuvent inclure des flashbacks, des cauchemars et une anxiété grave, ainsi que des pensées incontrôlables au sujet de l'événement.

    La plupart des personnes qui vivent un événement traumatique peuvent avoir des difficultés temporaires à s'adapter et à faire face à la situation, mais avec le temps et une bonne prise en charge personnelle, elles s'améliorent généralement. Si les symptômes s'aggravent, durent des mois, voire des années, et interfèrent avec votre fonctionnement quotidien, vous souffrez peut-être de SSPT.

    Obtenir un traitement efficace après l'apparition des symptômes du SSPT peut s'avérer essentiel pour réduire les symptômes et améliorer le fonctionnement. Si vous habitez à lyon, il existe des centre d’hypnose qui vous aident à dévélopper votre mieux etre.

     

    Hypnose lyon 3

    Symptômes

    Les symptômes du syndrome de stress post-traumatique peuvent se manifester dans le mois qui suit un événement traumatique, mais parfois, ils n'apparaissent que des années après l'événement. Ces symptômes entraînent des problèmes importants dans les situations sociales ou professionnelles et dans les relations. Ils peuvent également interférer avec votre capacité à accomplir vos tâches quotidiennes normales.

    Les symptômes du SSPT sont généralement regroupés en quatre types : souvenirs intrusifs, évitement, changements négatifs dans la pensée et l'humeur, et changements dans les réactions physiques et émotionnelles. Les symptômes peuvent varier dans le temps ou d'une personne à l'autre.

    Souvenirs intrusifs

    Les symptômes des souvenirs intrusifs peuvent inclure :

    des souvenirs récurrents, non désirés et pénibles de l'événement traumatique

    revivre l'événement traumatique comme s'il se produisait à nouveau (flashbacks)

    des rêves ou des cauchemars troublants concernant l'événement traumatique

    une détresse émotionnelle grave ou des réactions physiques à quelque chose qui vous rappelle l'événement traumatique.

    Évitement

     

    Les symptômes d'évitement peuvent inclure

    Essayer d'éviter de penser ou de parler de l'événement traumatique.

    Éviter les lieux, les activités ou les personnes qui vous rappellent l'événement traumatique.

    Changements négatifs de la pensée et de l'humeur

    Les symptômes de changements négatifs de la pensée et de l'humeur peuvent être les suivants :

    des pensées négatives sur vous-même, sur les autres ou sur le reste du monde

    un sentiment de désespoir face à l'avenir

    des problèmes de mémoire, notamment l'oubli d'aspects importants de l'événement traumatique

    Difficulté à maintenir des relations étroites

    Sentiment de détachement vis-à-vis de la famille et des amis

    Manque d'intérêt pour les activités que vous aimiez auparavant

    Difficulté à éprouver des émotions positives

    Sensation d'engourdissement émotionnel

    Changements dans les réactions physiques et émotionnelles

    Les symptômes de changements dans les réactions physiques et émotionnelles (également appelés symptômes d'éveil) peuvent inclure les suivants :

    Être facilement surpris ou effrayé

    être toujours sur le qui-vive

    comportement autodestructeur, comme boire trop ou conduire trop vite

    Troubles du sommeil

    Difficulté à se concentrer

    Irritabilité, crises de colère ou comportement agressif

    culpabilité ou honte accablantes.

    Pour les enfants de 6 ans et moins, les signes et les symptômes peuvent également inclure :

    la reconstitution de l'événement traumatique ou de certains aspects de l'événement traumatique par le jeu

    des rêves effrayants qui peuvent inclure ou non des aspects de l'événement traumatique.

    Intensité des symptômes

    L'intensité des symptômes du SSPT peut varier dans le temps. Vous pouvez présenter davantage de symptômes de SSPT lorsque vous êtes stressé en général ou lorsque vous rencontrez des rappels de ce que vous avez vécu. Par exemple, vous pouvez entendre une voiture pétarader et revivre vos expériences de combat. Ou bien vous pouvez voir aux informations un reportage sur une agression sexuelle et vous sentir envahi par les souvenirs de votre propre agression.

    Quand consulter un médecin

    Si vous avez des pensées et des sentiments troublants concernant un événement traumatique pendant plus d'un mois, s'ils sont graves ou si vous avez l'impression d'avoir du mal à reprendre le contrôle de votre vie, parlez-en à votre médecin ou à un professionnel de la santé mentale. Obtenir un traitement dès que possible peut aider à prévenir l'aggravation des symptômes du SSPT.

    Si vous avez des pensées suicidaires ou si l'un de vos proches ades pensées suicidaires, demandez de l'aide immédiatement en utilisant l'une ou plusieurs de ces ressources :

    Communiquez avec un ami proche ou un être cher.

    Contactez un ministre du culte, un chef spirituel ou un membre de votre communauté de foi.

    Prenez un rendez-vous avec votre médecin ou un professionnel de la santé mentale.

    Causes

    Vous pouvez développer un trouble de stress post-traumatique lorsque vous vivez, voyez ou apprenez quelque chose à propos d'un événement impliquant une mort réelle ou imminente, une blessure grave ou une violation sexuelle.

    Les médecins ne savent pas exactement pourquoi certaines personnes souffrent du SSPT. Comme la plupart des problèmes de santé mentale, le SSPT est probablement causé par un mélange complexe de :

     

    Des expériences stressantes, notamment la quantité et la gravité des traumatismes que vous avez subis dans votre vie.

    des risques hérités en matière de santé mentale, tels que des antécédents familiaux d'anxiété et de dépression

    des traits hérités de votre personnalité, souvent appelés tempérament.

    la façon dont votre cerveau régule les substances chimiques et les hormones que votre corps libère en réponse au stress.

    Facteurs de risque

    Des personnes de tout âge peuvent souffrir du syndrome de stress post-traumatique. Cependant, certains facteurs peuvent vous rendre plus susceptible de développer un SSPT après un événement traumatisant, par exemple

    Avoir vécu un traumatisme intense ou de longue durée

    Avoir subi d'autres traumatismes plus tôt dans la vie, comme des abus pendant l'enfance.

    Avoir un travail qui augmente le risque d'être exposé à des événements traumatiques, comme le personnel militaire et les premiers intervenants.

    Vous avez d'autres problèmes de santé mentale, comme l'anxiété ou la dépression.

    Avoir des problèmes de toxicomanie, comme une consommation excessive d'alcool ou de drogues.

    L'absence d'un bon système de soutien familial et amical.

    Avoir des parents de sang souffrant de problèmes de santé mentale, notamment d'anxiété ou de dépression.

    Types d'événements traumatiques

    Les événements les plus courants conduisant au développement du TSPT sont les suivants :

    l'exposition au combat

    les violences physiques subies pendant l'enfance

    la violence sexuelle

    l'agression physique

    La menace d'une arme

    Un accident

    De nombreux autres événements traumatisants peuvent également conduire au SSPT, comme un incendie, une catastrophe naturelle, une agression, un vol, un accident d'avion, une torture, un enlèvement, un diagnostic médical mettant la vie en danger, une attaque terroriste et d'autres événements extrêmes ou mettant la vie en danger.

     

     

  • Engagé contre le sida

    Yann botrel

    En tant qu'élu, un mandat nous oblige à nous engager pour des causes citoyennes, quelque soit les opinions de chacun. Je suis adhérent de l'association ELCS, Elus Locaux Contre le Sida avec son fondateur, Jean-Luc Romeo Michel qui est de tous les combats, ceux qui font avancer la société.

    J'étais présent à l'hôtel de ville de Saint Etienne pour la sortie du guide annuel de l'association à destination des élus, professionnels de santé, malades, familles, médias... 

    Le Maire, Gaël Perdriau a rappelé qu'aujourd'hui 25 000 français sont porteurs du VIH sans le savoir. 

    La ville de Saint Etienne est moteur dans la prévention du VIH avec une politique de dépistages gratuits et toujours très engagée dans la lutte contre toutes formes de discriminations.

    Laura Ciniera, conseillère municipale déléguée est également Vice-Présidente de l'association. 

    Le site de ELCS

  • La dépendance aux jeux, les joueurs compulsifs

    Les joueurs compulsifs sont des personnes qui ont un désir ou besoin irrationnel et irrésistible qui les poussent à ne trouver que les jeux représentent la solution à toutes situations de tristesse de leur vie. Ainsi, le jeu qui est considéré comme source de plaisir et d’amusement, devient un besoin quotidien. Des études ont montré que l'addiction aux jeux de hasard et d'argent est le résultat d'une série de facteurs qui affectent progressivement le comportement de la personne qui joue et son rapport au jeu. À travers cet article nous essayerons de comprendre les contours de la dépendance aux jeux.

    Hypnose lyon 2

    Les facteurs pouvant conduire à une dépendance aux jeux

    Plusieurs facteurs expliquent les causes qui conduisent à la dépendance aux jeux. Voici :

    Le facteur d'influence des autres joueurs

    Si les gens autour de vous jouent, vous courrez également un plus grand risque de jouer. Cependant, l'apprentissage et le jeu en famille se font généralement sans mesures de prévention des risques. Par conséquent, vous pourriez bientôt être influencés par les propos de votre proche, par exemple. Il lui sera plus facile de se vanter de ses gains plutôt que de ses pertes afin de vous persuader de jouer également le jeu.

    Le facteur de l’habitude

    Le jeu doit d'abord être divertissant. Mais cela deviendra vite une habitude, voire une routine. Avec la migration massive vers le jeu en ligne, notamment en raison de la pandémie de COVID-19, il est devenu plus difficile de contrôler le temps passé à jouer à des jeux. Par exemple, lorsqu'une machine à sous est à bout de main sur votre téléphone ou votre ordinateur. Vous pouvez ainsi rapidement créer une routine.

    Le facteur de l’illusion de contrôler les opportunités

    Il y a un facteur hors de notre contrôle : le hasard. Pour lui, l'intelligence et les compétences ne comptent pas. Cependant, face à un jeu de hasard, vous appellerez involontairement votre sagesse, comme s'il s'agissait d'un jeu d'adresse. Vous développez des stratégies, des rituels. Mais c'est futile. L'opportunité est imprévisible et incontrôlable : elle nous laisse tous impuissants, que nous soyons intelligents ou non.

    Le facteur des prédispositions psychologiques

    Certains facteurs psychologiques peuvent conduire au développement d'une dépendance, qu'il s'agisse du jeu ou d'autres comportements ou substances. Voici quelques exemples :

    trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH)

    une situation personnelle, familiale ou professionnelle stressante,

    traumatisme de l'enfance,

    besoins non satisfaits,

    difficile de traiter le problème,

    faible tolérance à l'ennui, etc.

    Ces facteurs peuvent provoquer un déséquilibre émotionnel, ce qui rend les gens plus susceptibles de devenir dépendants.

    Le facteur environnement

    Ce facteur est à la base du développement des problèmes de jeu, car il existe de nombreuses possibilités de jeu à proximité des domiciles : appareils de loterie vidéo dans les casinos, bars, restaurants et tavernes à proximité, dépanneurs ou épiceries... Cela augmente les bénéfices du jeu. L’existence du jeu contribue à façonner un environnement dans lequel le jeu est accepté, encouragé et même promu par la société.

    Le facteur conditionnement et fièvre du jeu

    Lorsque vous commencez à jouer, vous êtes exposés à une certaine forme de conditions. Les récompenses de jeu aident à développer des erreurs de pensée, modifiant ainsi votre perception et votre expérience en tant que joueur. Cela est particulièrement vrai lorsque vos premières parties se soldent par une série de victoires plus ou moins élevées. Cette illusion de chance crée un sentiment d'euphorie lorsque vous découvrez le jeu pour la première fois et vous invite à recommencer. En fait, le cerveau se souvient plus facilement des gains que des pertes, et vous allez vite croire que la possibilité va bientôt s'inverser à nouveau : vous approchez d'un piège.

    Comment changer de vie en tant que joueur compulsif ?

    Discuter de votre problème à vos proches

    Une étape délicate à ne pas négliger dans le processus. Il est très difficile de se battre seul et d'arrêter les choses hors de votre contrôle. N'hésitez pas à en parler à vos proches et professionnels, ils sauront vous soutenir, vous encourager et vous aider à comprendre ce qui freine votre évolution dans le jeu.

    Accepter et faites le deuil de l’argent perdu

    Trouvez des solutions concrètes et réelles à vos difficultés financières. C’est vrai qu’il est difficile de l’accepter, mais il faudra le consommer pour y parvenir. L'opportunité est hors de contrôle. Que vous y jouiez une ou dix mille fois, vous vous en souvenez : le jeu n'a pas de mémoire. Ce n'est donc pas une solution.

    Favoriser les chances en votre faveur

    Ne passez pas par votre lieu de jeu préféré, évitez d'emporter de l'argent avec vous... Protégez-vous en décidant d'interdire l'entrée au casino, etc. Obligez-vous à respecter vos nouveaux principes.

    Pourquoi l’hypnose pour se guérir de la dépendance aux jeux ?

    L'hypnose est une thérapie douce qui peut aider les personnes ayant des problèmes de dépendance au jeu à reprendre le contrôle de leurs impulsions et à faire disparaître la plupart des conséquences négatives du jeu. D'une manière générale, notre cerveau enregistre un schéma fonctionnel précis en fonction de nos habitudes. Par exemple, une personne accro au jeu doit jouer constamment à des jeux pour se sentir heureuse. Sinon, elle sera malheureuse. Ce schéma était profondément enraciné dans son cerveau et est rapidement devenu une réalité immuable dont il ne pouvait pas s'écarter.

    De nombreuses personnes ont essayé de lutter contre la dépendance au jeu, mais ont échoué. Lorsqu'ils se répètent sans cesse la même phrase : « Je veux vraiment arrêter de jouer, mais je n'y arrive pas », ces personnes tombent dans une dépendance qui est principalement addictive inconsciemment. Et c'est là que l'hypnose cherche des solutions. Au cours du processus d'hypnose, le patient entre progressivement dans un état de relaxation profonde, et son cerveau va progressivement baisser sa vigilance pour permettre à de nouvelles informations de se produire. L'hypnothérapeute lui dicte alors des suggestions comportementales pour l'aider à lutter contre la dépendance aux jeux.

     

    hypnose lyon - addictologue lyon - hypnothérapie lyon - addictologie lyon

  • La dépression

    Vous avez des insomnies. Il vous arrive d’être anxieux ou de d’avoir une humeur très changeante. Vous êtes permanemment triste. Vous avez l’impression que votre vie n’est que malheur. Il se pourrait que vous soyez dépressif. La dépression est un mal mental qui rend inactif et mélancolique. 

    Selon l'OMS, plus de 300 millions de personnes en souffrent dans le monde. Bien qu’il existe des traitements efficaces, c’est la deuxième cause de mortalité. Surtout dans le rang des jeunes de 15 à 29 ans. Dans les cas graves la dépression peut conduire au suicide ou à d’autres troubles mentaux irréversibles. Il est donc profitable de savoir ce que c’est que la dépression. Quelles sont les sources de cette affection ? Également, informez-vous des différents indices qui la sous-tendent et des traitements existants à cet effet.

    Hypnose lyon 1

    Comment savoir que vous souffrez de la dépression

    Selon l’OMS, la dépression est un trouble mental caractérisé par la tristesse, la perte d’intérêt ou de plaisir. L’individu souffrant de la dépression ressent de la culpabilité et a une faible estime de lui-même. Il a des troubles du sommeil et de l’appétit. Il est constamment fatigué et manque de concentration. 

    Généralement, une personne est dépressive lorsqu’elle ressent ces troubles sur une longue durée ou de façon récurrente. Il ne s’agit donc pas des moments d’angoisse passagers liés à des situations difficiles que tout le monde traverse. Une personne souffre de dépression quand elle est malheureuse sans raison. Elle est ennuyée et se dévalorise sans raison et tout ceci pendant des semaines ou des années. 

    Notez que vous pouvez consulter un médecin ou un hypno thérapeute afin de vous faire diagnostiquer.

    Quelles sont les causes de la dépression ?

    Scientifiquement, la dépression n’a pas une cause précise. Mais elle peut avoir une origine génétique. Ça peut être l’expression d’un problème biologique lié au cerveau. Les mésaventures de la vie peuvent aussi expliquer l’état de la dépression.

    Les causes liées aux gènes

    Une personne qui souffre de la dépression peut transmettre le gène à sa progéniture. Donc une personne dépressive pourrait avoir contracté le gène porteur de dépression d’un parent. Cependant il faut noter que les scientifiques n’ont pas encore découvert ce gène porteur de dépression. Les recherches continuent afin de parvenir à ce résultat.

    Les causes liées au cerveau

    Le cerveau est complexe et contient de nombreux neurotransmetteurs. Un mauvais équilibre de ces neurotransmetteurs perturbe le fonctionnement des neurones. Certaines pilules hormonales dérèglent aussi le fonctionnement des neurones entraînant ainsi la dépression.

    Les mésaventures de la vie

    La perte d’une personne proche ou toute autre blessure profonde peut entraîner la dépression. Une maladie récurrente, les mauvais souvenirs de l’enfance. En somme des traumatismes qui vous maintiennent dans un état de stress et d’anxiété.

    Traitement de la dépression par l’hypnose

    À Lyon l’hypnose est un traitement efficace contre la dépression. L’hypnothérapeute vous rencontre et s’entretient naturellement avec vous. À la première séance, l’objectif du thérapeute est de constater votre niveau de dépression. Au cas où ce niveau est critique, un médecin vous est recommandé. L’hypnose vous permet de mieux vous sentir. Ça vous guérit de tous les symptômes liés à la dépression. Notons qu’elle est généralement associée à un traitement médical. 

    À Lyon l’hypnose pratiquée touche même à l’inconscient du patient. Elle améliore son état mental. L’autre principe particulier est l’orientation de son attention. En effet, un travail est fait sur le patient afin qu’il ait des pensées positives et qu’il évite celles négatives. Concrètement, l’hypnose libère le patient et le détend accompagné par des exercices de respiration. Du coup, l’intensité de l’activité nerveuse chute et s’améliore.

    Les avantages de l’hypnose

    L’hypnose à Lyon travaille votre estime de soi. La baisse de la confiance est un symptôme phare de la dépression. Compte tenu de son niveau d’ancrage, le thérapeute définit le nombre de séances qu’il faut. Autre symptôme traité est les troubles physiques provoqués par la dépression. L’hypnose rend le patient bien physiquement. Elle permet aussi de mettre en vue les causes profondes de votre état. Ainsi le traitement est personnalisé et mieux adapté au patient.

    Autres traitements liés à la dépression

    Outre l’hypnose, la thérapie cognitive et comportementale (TCC) est utilisée pour guérir la dépression. Ce traitement permet d’améliorer convenablement vos complications relationnelles. Vous avez ainsi le plaisir de vivre pour toujours sans avoir peur de rechuter. La thérapie cognitive et comportementale améliore votre sommeil. Il faut noter qu’elle peut être suivie de la prise des antidépresseurs. Ces médicaments réduisent l’anxiété, le stress et autres troubles. La TCC se pratique suivant plusieurs étapes afin d’espérer un bon résultat.

    Comment se pratique la TCC

    Pour avoir un changement du patient, des étapes classiques existent qu’il faudra suivre. Le premier principe est la prise de contact. Cette étape permet de rencontrer le patient et d’écouter sa plainte. 

    Ensuite vous devez prendre connaissance des motivations de changement désiré par le patient. Cette étape permet au soignant et patient d’harmoniser leurs objectifs. Cette étape permet aussi de voir à quel degré le patient est conscient du changement qu’il s’apprête à opérer dans sa vie. L’analyse fonctionnelle. Le soignant fait un diagnostic des troubles du patient. Il personnalise le diagnostic pour ne pas tomber dans le copier-coller. Il émet des hypothèses qu’il communique au patient. C’est l’étape de la restitution au patient. Il lui explique de quoi il souffre et l’informe du cheminement qu’il va suivre pour aller mieux.

    Autres étapes de la TCC

    Après avoir informé le patient de vos hypothèses, vous l’associez pour définir les priorités. Généralement, plusieurs maux sont diagnostiqués, vous avez besoin de lui pour établir les plus importants. Vous procédez donc à une hiérarchisation. Et vous lui dites tout ce qu’il aura à apprendre pour lutter contre ses maux. Ensuite l’étape de l’évaluation de l’efficacité. En premier lieu, vous évaluez la meilleure méthode à adopter pour un traitement efficace du patient. Voir constamment l’évolution de la guérison afin d’ajuster les stratégies thérapeutiques au fur et à mesure que les séances passent. Après la guérison, assurez-vous qu’il ne rechute pas. De temps en temps, il faut avoir des séances pour vérifier.

    La Dépression touche la grande majorité de la population dans le monde. Principalement les jeunes sont concernés. Elle se manifeste à travers plusieurs symptômes qui peuvent conduire à la mort notamment le suicide. Mais il existe plusieurs traitements efficaces qui guérissent les patients : la prise en charge par un médecin, l’hypnose et la thérapie cognitive et comportementale.

     

  • Les drogues de synthèse - Le fléau Chemsex

    Fabriquées en laboratoire, elles ont pour but d'imiter des drogues "naturelles" comme les champignons hallucinogènes ou encore la cocaïne, le THC. Elles peuvent aussi imiter des médicaments et autres substances avec un pouvoir addictogène inquiétant pour certaines. Découvrez cette vidéo avec un focus sur une pratique provoquant des centaines de décès sans aucune prévention: le chemsex.

     

    Lire la suite

  • Les troubles obsessionnels compulsifs

    Une séance d’hypnose à Lyon est un moyen efficace de traiter les symptômes du TOC sans utiliser de médicaments. Yann Botrel est hypnothérapeute et addictologue exerçant en région lyonnaise. Il vous accueille du lundi au samedi sur la commune de Saint-Genis-Laval, à 15 minutes de Lyon.

    Toc

    Que sont les TOCs ?

    TOC signifie trouble obsessionnel compulsif. Les personnes atteintes de TOC ont des pensées ou des envies (obsessions) indésirables et récurrentes. Elles se comportent d'une certaine manière (compulsions) pour réduire l'anxiété causée par ces obsessions. C'est un trouble anxieux qui débute généralement à l’enfance ou l'adolescence et s'aggrave avec l'âge.


     

    Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) est une maladie mentale qui peut être très pénible pour les personnes qui en souffrent. Elles éprouvent des pensées, des impulsions ou des images indésirables qui conduisent à des comportements répétitifs comme se laver les mains excessivement, compter et recompter, vérifier les choses encore et encore. Ces comportements répétitifs sont les compulsions du TOC.


     

    Les compulsions sont des actions qu'une personne atteinte de TOC peut effectuer afin de réduire son anxiété. Elles sont généralement rituelles, ce qui signifie qu'elles sont exécutées d'une manière définie et qu'elles peuvent prendre beaucoup de temps. Souvent, la personne atteinte de TOC ne veut pas s’empêcher d’effectuer un acte compulsif et a l'impression qu'elle doit le faire.

     

    Quelles sont les causes du TOC ?

    Les causes du TOC varient selon les individus. La cause la plus fréquente est une prédisposition génétique à l'anxiété. Cependant, d'autres causes peuvent être des antécédents familiaux de TOC, des traumatismes, des effets secondaires des médicaments, des troubles neurologiques et des accidents vasculaires cérébraux.
     

    Quels sont les symptômes du TOC ?

    Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) est un type de trouble anxieux.

    Certains des symptômes les plus courants sont :

    Nettoyage excessif

    Répétition inutile

    Vérification excessive

    et plus encore…

     

    Quels sont les traitements du TOC ?

    Les traitements les plus courants du TOC sont les médicaments et la thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Parfois, les médecins prescrivent des antidépresseurs pour aider à soulager les symptômes du TOC. La TCC aide les patients à identifier les schémas de pensée négatifs qui les rendent anxieux ou stressés. Ils peuvent alors apprendre à modifier leur comportement afin de réduire ces pensées négatives.


     

    Certains patients bénéficient également de l'EPR, abréviation d’Exposition avec Prévention de la Réponse. Ce traitement est utilisé lorsque quelqu'un veut arrêter d'avoir certaines pensées obsessionnelles.


     

    L’hypnose peut également aider à traiter les patients atteints d’un TOC. Des séances d’hypnose sont proposées dans la région de Lyon, au sein du cabinet d’hypnothérapie de Yann Botrel.

     

    Comment l’hypnose peut-elle aider les personnes souffrant de TOC ?

    Au fil des ans, l'hypnose a été utilisée pour traiter une variété de troubles, notamment la dépression, l'anxiété, le tabagisme ou la toxicomanie. Plus récemment, elle a été utilisée comme traitement du TOC qui pousse un individu à être obsédé par des choses comme les germes ou le danger.


     

    En tant qu’hypnothérapeute basé à Lyon, Yann Botrel peut aider les personnes atteintes de TOC de plusieurs manières. Un exemple consiste à les aider à reconnaître les modèles de leur comportement et à apporter des modifications à ces modèles.


     

    En résumé :

    Le TOC est un type de trouble anxieux dans lequel une personne a des pensées, des impulsions ou des images indésirables qui la stressent. Il est généralement traité avec une thérapie cognitivo-comportementale et des médicaments. Le TOC peut être traité par l'hypnose à Lyon au sein du cabinet d’hypnothérapie et addictologie de Yann Botrel, en utilisant l'esprit pour manipuler le corps. Dans ce cas, l'objectif est de diminuer la fréquence et la gravité des pensées et des images indésirables.

  • Les nouvelles drogues de synthèse

    Les nouvelles drogues de synthèse (NDS) sont des substances psychoactives qui tentent de reproduire les effets de produits illégaux existants, tels que l'ecstasy/l'ecstasy, les amphétamines, la cocaïne, la marijuana, les psychédéliques… Mais la plupart d’entre elles sont beaucoup plus fortes, plus dangereuses, et disposent d’une simulation plus addictive. Il existe des centaines de NPS avec des propriétés très différentes.

    Addictologue Lyon

    Un grand nombre de cathinones existe, chacune avec ses propres caractéristiques. Les risques sont principalement neurologiques, mentaux et cardiaques. Ils peuvent être différents selon l’état mental et physique du consommateur au moment de la consommation, ainsi que la quantité et la durée de la consommation.

    L’utilisation de cathinone peut provoquer une maladie mentale grave, qui peut durer plusieurs jours après l’arrêt de l’utilisation, même après l’administration du traitement. Elle se caractérise par des attaques de panique prolongées, des états délirants, des hallucinations, de la paranoïa et des attaques contre les autres ou contre vous-même.

    Toute consommation est à risque. Lorsque vous vous sentez fatigué, stressé, malade ou inquiet, il est préférable de l’éviter.

    Les opioïdes

    Les opioïdes sont une classe de substances naturelles ou synthétiques extraites de l’opium, et sont une substance extraite du pavot à opium.

    Dans cette famille, on distingue les opioïdes prescrits (analgésiques opioïdes et thérapie de substitution) et les opioïdes illégaux vendus au marché noir (héroïne, nouveaux opioïdes de synthèse, etc.). L’usage répété d’opioïdes, même ceux prescrits par un médecin, peut également présenter un risque de dépendance. En cas de consommation excessive, il existe un risque de surdosage. Ce risque augmente avec les opioïdes de synthèse car ils sont beaucoup plus puissants et leur teneur en principe actif est très incertain.

    Les opioïdes se présentent sous de nombreuses formes : sirops, gélules, comprimés, patchs, applicateurs oraux, injections, sprays, suppositoires, poudres, pilules, buvards, etc.

    Les principaux risques des opioïdes sont le surdosage et la dépendance. En fait, le surdosage est une urgence médicale et peut entraîner la mort. Cela se produit lorsque la quantité consommée dépasse la limite que le corps peut tolérer. (Voir aussi le chapitre sur les recommandations de réduction des risques)

    Par conséquent, afin de réduire le risque, il est important de ne pas mélanger plusieurs opioïdes. Ne pas mélanger avec de l’alcool, des benzodiazépines, une thérapie de remplacement des opioïdes et d’autres dépresseurs du système nerveux central : augmente le risque de dépression respiratoire.

    Les pipérazines

    La pipérazine est une classe de produits chimiques dont l’effet stimulant est similaire à celui de l’ecstasy et de l’amphétamine.

    Trois pipérazines sont en circulation depuis de nombreuses années : la BZP (benzylpipérazine), la TFMPP et la mCPP. Veuillez noter que TFMPP est presque toujours fourni en combinaison avec BZP, ce qui renforce son effet. La pipérazine se présente sous plusieurs formes : poudre, gélule, comprimé et liquide.

    Les utilisateurs soulignent que les effets secondaires sont particulièrement nombreux et désagréables.

    Nausées et vomissements, changements brusques de température (une forte sensation de chaleur suivie d’une sensation de froid) ; muqueuses sèches, en particulier bouche sèche.

    La durée de l’effet ainsi que certains effets secondaires et certaines réactions d’hypersensibilité sensorielle (tactile, visuelle, auditive) peuvent déclencher des crises de panique chez les utilisateurs. La survenue de ce « bad trip » ouvre la porte à des complications psychologiques pouvant nécessiter une prise en charge psychiatrique.

    Par conséquent, afin de minimiser le risque, vous devez être attentifs à la dose que vous prenez. Il est conseillé de prendre une petite dose pour la première fois et d’attendre que l’effet se fasse sentir. L’effet peut mettre longtemps à apparaître et durer longtemps, et parfois il est presque tolérable. Plus la dose prise est élevée, plus les effets secondaires désagréables auxquels l’utilisateur sera confronté.

     


    Effets des nouvelles drogues synthèse

    Les nouvelles drogues de synthèse causent un puissant sentiment d’euphorie chez les consommateurs, principalement en raison de leur effet sur les neurones dopaminergiques, responsables du plaisir. Ces médicaments peuvent également aider les utilisateurs à rester éveillé, notamment en provoquant une augmentation rapide des taux de noradrénaline.

    De plus, la consommation de nouvelles drogues de synthèse a pour effet d’augmenter l’énergie, d’augmenter la capacité à effectuer des tâches simples habituellement affectées par la fatigue, de donner aux gens l’impression d’une plus grande puissance physique et intellectuelle et de provoquer une certaine euphorie.

    À faibles doses, la nouvelle drogue de synthèse conçue peut produire une euphorie et une stimulation similaires à celles de l’amphétamine. Cependant, il est plus puissant et plus addictif. De plus, dans de nombreux cas, il peut être toxique.

     

    Conséquences des nouvelles drogues de synthèse

    En raison des effets graves de ces médicaments, les personnes qui les utilisent peuvent se sentir épuisées et tomber dans un état de dépression, ce qui entraîne des idées suicidaires et devient agressif. Comme d’autres médicaments conçus, les nouvelles drogues de synthèse peuvent endommager le cerveau de façon permanente. Le risque de dépendance psychologique est plus grand que celui des produits ordinaires car ils sont plus efficaces. Lorsque la drogue est prise sous forme de méthamphétamine, la dépendance sera plus rapide.

    D’un autre côté, l’utilisation continue de nouvelles drogues synthétiques entraîne généralement une perte de poids, bien qu’il ait été observé qu’une tolérance aux effets coupe-faim peut se développer rapidement. En fin de compte, les utilisateurs de ces types de substances peuvent souffrir de psychose toxique, qui se caractérise par des hallucinations, des délires ou des persécutions, ainsi que des comportements hostiles voire violents. Bien que l’apparition de la psychose ne dure généralement pas plus de quelques jours, elle peut être prolongée, principalement chez les personnes atteintes de maladie mentale.

    hypnose Lyon addictologue Lyon