Cabinet Yann Botrel

addictologue lyon

  • L'addictologie

    L'addictologie est une spécialité médicale qui traite des troubles liés à l'utilisation de substances ou de comportements qui peuvent devenir addictifs, tels que l'alcoolisme, la toxicomanie, le jeu pathologique et la dépendance aux médicaments sur ordonnance. L'addictologie se concentre sur la compréhension des causes, des conséquences et du traitement de ces troubles.

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    Les causes de l'addiction peuvent varier d'une personne à l'autre. Certaines personnes sont plus susceptibles de devenir dépendantes en raison de facteurs génétiques, tandis que d'autres peuvent développer une addiction en raison de traumatismes ou de stress émotionnels. La plupart des experts s'accordent pour dire que les facteurs environnementaux, tels que la disponibilité de substances addictives et la pression sociale, jouent également un rôle important dans le développement de l'addiction.

    Le traitement de l'addiction peut prendre différentes formes, en fonction du type de trouble et des besoins individuels du patient. Les options de traitement courantes comprennent la thérapie comportementale, la thérapie par la parole, les groupes de soutien, les médicaments et les programmes de désintoxication. L'objectif principal du traitement est d'aider les patients à acquérir les compétences nécessaires pour gérer leur dépendance et éviter les rechutes.

    Les professionnels de l'addictologie, tels que les psychiatres, les psychologues, les travailleurs sociaux et les conseillers en toxicomanie, travaillent en étroite collaboration pour offrir des soins complets et personnalisés aux patients. Ces professionnels peuvent également travailler avec des membres de la famille et d'autres personnes impliquées dans la vie du patient pour offrir un soutien et des conseils supplémentaires.

    Il est important de noter que la guérison de l'addiction n'est pas un processus facile ou rapide. Le traitement peut prendre du temps et nécessiter un engagement continu de la part du patient. Cependant, avec le bon soutien et les bonnes ressources, de nombreuses personnes sont en mesure de surmonter leur dépendance et de mener une vie épanouissante et équilibrée.

    En conclusion, l'addictologie est une spécialité médicale importante qui joue un rôle clé dans le traitement et la guérison des troubles liés à l'utilisation de substances ou de comportements addictifs. Les professionnels de l'addictologie travaillent en étroite collaboration avec les patients et leur entourage pour offrir des soins personnalisés et adaptés à leurs besoins individuels.

    Les substances psychoactives

    Les substances psychoactives sont des composés chimiques qui ont un effet sur le système nerveux central, modifiant la perception, l'humeur, le comportement et les pensées d'une personne. Elles sont souvent classées en fonction de leurs effets sur le cerveau : stimulants, dépresseurs, hallucinogènes et dissociatifs.

    Les stimulants augmentent l'activité du système nerveux central, accélérant les fonctions corporelles et augmentant l'énergie. Les exemples courants de stimulants sont la caféine, la cocaïne, la méthamphétamine et la nicotine.

    Les dépresseurs, par contre, ralentissent l'activité du système nerveux central, provoquant une relaxation musculaire et une diminution de l'anxiété. Les exemples courants de dépresseurs sont l'alcool, les benzodiazépines et les opiacés.

    Les hallucinogènes altèrent la perception, créant des sensations visuelles, auditives et sensorielles inhabituelles. Les exemples courants d'hallucinogènes sont le LSD, la psilocybine (champignons magiques) et le DMT.

    Les dissociatifs, enfin, produisent une sensation de dissociation ou de déconnexion entre le corps et l'esprit. Les exemples courants de dissociatifs sont la kétamine, le PCP et le DXM.

    Il est important de noter que toutes les substances psychoactives ont des risques pour la santé physique et mentale. L'utilisation de drogues peut avoir des effets à court terme tels que la désorientation, la confusion, la nausée et la paranoïa, et à long terme, elle peut causer des dommages au foie, aux poumons, au cerveau et au système cardiovasculaire.

    En fin de compte, il est important de prendre des décisions éclairées et responsables en matière de consommation de drogues. Si vous choisissez de consommer des substances psychoactives, il est important de prendre des précautions de sécurité, de connaître vos limites et de rechercher de l'aide si vous rencontrez des problèmes liés à l'utilisation de drogues.

    Les comportements addictifs : jeu compulsif

    Le jeu compulsif, également connu sous le nom de jeu pathologique, est un trouble du comportement qui se caractérise par une incapacité à contrôler les impulsions de jouer, malgré les conséquences négatives qui en découlent. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent continuer à jouer même si cela a un impact négatif sur leur vie, leur travail, leurs relations et leur santé mentale et physique.

    Causes du jeu compulsif

    Le jeu compulsif peut être causé par une combinaison de facteurs, notamment des facteurs génétiques, biologiques, environnementaux et psychologiques. Les facteurs génétiques peuvent rendre certaines personnes plus vulnérables au jeu compulsif en raison de leur prédisposition génétique à l'impulsivité et à la dépendance.

    Les facteurs biologiques, tels que des déséquilibres chimiques dans le cerveau, peuvent également jouer un rôle dans le développement du jeu compulsif. Les facteurs environnementaux, tels que le stress, les problèmes financiers, les troubles de l'humeur et les relations difficiles, peuvent également contribuer au développement du jeu compulsif.

    Les facteurs psychologiques, tels que la dépression, l'anxiété, le trouble obsessionnel-compulsif et les traumatismes de l'enfance, peuvent également jouer un rôle dans le développement du jeu compulsif.

    Symptômes du jeu compulsif

    Les symptômes du jeu compulsif peuvent varier d'une personne à l'autre, mais ils incluent généralement une obsession pour le jeu, le besoin de jouer avec des sommes d'argent de plus en plus importantes pour atteindre la même sensation de plaisir, la tentative de récupérer les pertes en jouant davantage, le mensonge aux autres sur l'ampleur du problème, le détournement de l'argent pour jouer, la perte de contrôle sur le temps et l'argent consacrés au jeu, et la poursuite du jeu malgré les conséquences négatives pour soi-même et les autres.

    Conséquences du jeu compulsif

    Le jeu compulsif peut avoir de graves conséquences sur la vie des personnes atteintes, notamment sur leur santé mentale et physique, leurs relations et leur situation financière. Les personnes atteintes de jeu compulsif sont plus susceptibles de souffrir de troubles anxieux, de dépression, de problèmes de sommeil, de troubles alimentaires et de toxicomanie.

    Le jeu compulsif peut également avoir un impact négatif sur les relations familiales et sociales, conduisant souvent à l'isolement social et à la rupture des liens avec les amis et la famille. Enfin, le jeu compulsif peut entraîner de graves problèmes financiers, notamment la dette, les saisies et les faillites.

    Traitement du jeu compulsif

    Le traitement du jeu compulsif comprend généralement une combinaison de thérapies comportementales, de counseling et de médicaments. Les thérapies comportementales, telles que la thérapie cognitive-comportementale, peuvent aider les personnes atteintes de jeu compulsif à modifier leurs pensées et leurs comportements liés au jeu. Le counseling peut aider les personnes atteintes de jeu compulsif à gérer les émotions sous-jacentes qui peuvent contribuer au comportement de jeu compulsif.

  • L'addictologie en France : une prise en charge complexe

    L'addiction est un problème de santé publique qui touche de nombreuses personnes en France. Elle se manifeste par une dépendance physique ou psychique à une substance (alcool, drogue, médicament) ou à un comportement (jeu, sexe, achats compulsifs). La prise en charge des addictions est un enjeu majeur de santé publique en France. Elle est assurée par un réseau de professionnels spécialisés dans l'addictologie, qui proposent une approche multidisciplinaire pour accompagner les personnes en difficulté.

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    L'histoire de l'addictologie en France

    L'addictologie en tant que discipline médicale est relativement récente en France. Elle a commencé à se développer dans les années 1970, avec la mise en place des premières consultations spécialisées dans les hôpitaux. Dans les années 1980, les pouvoirs publics ont créé les Centres de Soins, d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA), qui ont pour mission d'assurer une prise en charge globale des personnes dépendantes. En parallèle, des associations de patients et de familles se sont constituées pour faire entendre leur voix et défendre leurs droits.

    Au fil des années, l'addictologie s'est affirmée comme une discipline médicale à part entière, avec ses propres outils thérapeutiques et son réseau de professionnels spécialisés. Elle s'appuie sur des approches pluridisciplinaires, qui prennent en compte la dimension médicale, psychologique, sociale et environnementale de l'addiction. Les professionnels de l'addictologie travaillent en étroite collaboration avec d'autres acteurs de la santé publique, tels que les médecins généralistes, les psychiatres, les travailleurs sociaux ou les associations de patients.

    Les addictions en France : une réalité complexe

    En France, les addictions touchent un grand nombre de personnes, quels que soient leur âge, leur sexe ou leur milieu social. Selon les données de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), près de 10 millions de personnes déclarent avoir consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie, 1,5 million sont dépendantes à l'alcool et 1,3 million sont dépendantes au tabac. Les autres addictions, comme les jeux d'argent, les addictions sexuelles ou les troubles du comportement alimentaire, sont moins fréquentes mais tout aussi préoccupantes.

    Les addictions sont souvent associées à des troubles psychologiques ou psychiatriques, tels que la dépression, l'anxiété, la bipolarité ou la schizophrénie. Elles peuvent également avoir des conséquences sur la santé physique, comme les maladies cardiovasculaires, les cancers ou les maladies infectieuses. Les addictions ont également un impact sur la vie sociale et professionnelle des personnes concernées, avec des risques d'isolement, de précarité ou de marginalisation.

     

    Centres d'addictologie à Lyon

    Les Hospices Civils de Lyon sont au coeur de la prise en charge sur le département du Rhône avec le CSAPA de la Croix-Rousse, le CHU Edouard Herriot au pavillon K ou encore le CHLS (Lyon Sud). De nombreuses autres structures maillent la prise en charge qui doit être multifactorielle. La médecine de ville, les paramédicaux, les hypnothérapeutes Lyon ont toutes leur place dans ce dispositif souvent saturé. Le secteur privé n'est pas en reste comme "Les portes du sud" à Vénissieux qui proposent des sevrages d'alcool sur deux semaines. L'addictologie lyonnaise est chapotée par le Professeur Benjamin Rolland qui dirige également le SUAL (Service Universitaire d'Addictologie de Lyon) implanté à l'hôpital psychiatrique du Vinatier (Bron)

  • Les dangers du "gaz hilarant": le protoxyde d'azote

    Le gaz hilarant : un produit très dangereux inhalé par les jeunes

    Le protoxyde d’azote ou gaz hilarant est un produit qui existe depuis plusieurs siècles. Utilisé jusque-là à des fins bien précises et de façon très réglementée, il devient de plus en plus prisé par les adolescents. Pourtant, il s’agit d’une substance très nocive. En effet, il peut occasionner une variété de réactions graves chez le consommateur.

    Les malaises, brûlures, crises cardiaques et troubles neurologiques ne sont que quelques exemples. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les Autorités sanitaires en Auvergne-Rhône-Alpes ont récemment publié un message d’alerte. En tant qu’addictologue lyon, je vous propose de découvrir tous les dangers du gaz hilarant ainsi que quelques pistes pour les limiter.

     

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    Qu’est-ce que c’est que le gaz hilarant ?

    Avant d’aborder les effets nocifs du gaz hilarant, une petite clarification s’impose. Considéré comme meilleur hypnothérapeute lyon et addictologue, on m’a souvent posé la question de savoir ce que c’est que ce gaz exactement. Si vous vous demandez la même chose, sachez qu’il s’agit d’un produit incolore et inodore utilisé depuis le XVIIIème siècle.

    Il est connu plus exactement sous le nom de protoxyde d’azote (N2O) ou proto. Comme son nom l’indique, il se présente sous forme gazeuse. Cependant, il convient de préciser que contrairement à la plupart des substances, il possède un effet hilarant très prononcé.

    Le consommateur expérimente une sensation d’euphorie et d’enjouement à la manière d’un petit enfant. Généralement, cet état se prolonge sur une période assez limitée. L’individu peut rire pendant plusieurs minutes même si le sujet débattu n’est pas drôle. C’est justement cela qui fait virevolter les jeunes.

    Pourquoi a-t-il vu le jour ?

    A l’origine, le protoxyde d’azote ne faisait pas objet d’une utilisation détournée à des fins récréatives par les adolescents. Il s’agissait plutôt d’un produit employé que dans des sphères bien précises. Au nombre de ces dernières figure la médecine. En réalité, le proto présente des propriétés anesthésiques.

    Les dentistes et médecins pédiatres s’en servent depuis longtemps. On le retrouve également dans les blocs opératoires. Outre le domaine médical, le fameux gaz hilarant est utilisé dans l’industrie automobile. Les grandes enseignes en font usage notamment lors de la conception de fusées et des engins à propulsion.

    Enfin, il est aussi possible de dénicher le protoxyde d’azote en cuisine. Les cartouches de siphons à crème chantilly par exemple en contiennent. Dans l’un comme dans l’autre cas, je dois préciser que l’utilisation de ce produit est soumise à des règles bien strictes. De nombreuses précautions sont également prises en raison de sa nocivité.

    L’utilisation non-réglementée du protoxyde d’azote par les jeunes : un phénomène inquiétant

    L’usage du proto comme substance récréative a commencé en Grande Bretagne lors de la période victorienne. Les jeunes y ont eu recours dans le but de planer et de rendre les célébrations plus festives. C’est d’ailleurs de là que vient le terme de gaz hilarant. En effet, les réjouissances étaient qualifiées de « laughing gas parties ».

    L’utilisation non-réglementée de ce produit a pris de l’ampleur au début des années 2000 avec les clubs et festivals. Dorénavant, les étudiants ne sont plus les seuls à inhaler le protoxyde d’azote. Les adolescents s’y sont aussi mis et semblent véritablement y prendre goût. Les cas de détournement de gaz hilarant de l’industrie alimentaire ou de la cuisine se multiplient.

    Cela pose un véritable problème de santé compte tenu des multiples risques encourus par ces derniers. Certains prennent même plus d’une centaine de cartouches par jour. La vidéo de cette jeune fille consommant du proto au volant et expérimentant ses effets psychotropes illustrent très bien à quel point ce phénomène devient inquiétant.

    Quels sont les dangers du gaz hilarant ?

    Vous vous interrogez sur les dangers du gaz hilarant ? Vous souhaitez en savoir plus sur les effets secondaires expérimentés après sa consommation ? Sachez qu’ils sont multiples. Étant expert addictologue lyon, j’ai l’habitude de les classer en deux catégories. Il s’agit des conséquences imminentes et tardives. Les premières apparaissent dans les secondes qui suivent l’inhalation tandis que les secondes prennent plus de temps avant de se révéler.

    Les effets secondaires imminents ou aigus

    Le protoxyde d’azote est un gaz très volatile. Quelques secondes après son absorption, il déclenche au niveau du cerveau une stimulation excessive de la production de dopamine. C’est ce qui est à l’origine de l’hilarité expérimentée par le consommateur. Cela est très similaire à l’ivresse des profondeurs que connaissent les plongeurs. Voici les conséquences aigües le plus souvent enregistrées.

    Les malaises et brûlures

    L’individu qui a inhalé le proto peut ressentir des malaises et s’effondrer littéralement en quelques secondes. Il peut aussi être victime de brûlures. En réalité, il s’agit d’un gaz extrêmement froid. Au contact des muqueuses, il crée des dommages très importants. C’est d’ailleurs pour cette raison que les dermatologues s’en servent pour traiter les verrues.

    Les troubles musculaires

    Cela dit, il convient de préciser que ce produit n’affecte pas que la structure des muqueuses. Il réduit aussi considérablement la mobilité musculaire. De nombreux cas d’arrêt de déglutition ont été signalés à la suite de l’inhalation de protoxyde d’azote chez des jeunes.

    Les problèmes respiratoires et cardiaques

    L’autre danger imminent phare encouru par les adolescents, c’est l’asphyxie. Même si son effet se dissipe au bout de quelques minutes, cela est largement suffisant pour qu’il prenne la place de l’oxygène et dérégule le fonctionnement des poumons et du cœur.

    L’arrêt cardiaque et la formation d’œdème sont donc également des risques graves auxquels sont exposés les adolescents. Dans certains cas, cela peut s’avérer très rapidement fatal. On déplore déjà une soixante de décès liés à cette utilisation détournée du gaz hilarant.

    Les séquelles sur le moyen ou le long terme

    Hormis les effets aigus, l’inhalation répétée du protoxyde d’azote peut aussi créer des conséquences à moyen ou long terme.

    Les problèmes neurologiques

    Au bout de 3 à 6 mois, l’individu développe généralement des problèmes neurologiques. Ils sont très variés. Au nombre de ces derniers se distinguent les troubles de la marche. Plusieurs jeunes se retrouvent obligés de recourir à un fauteuil roulant ou à des béquilles pour se déplacer en raison des dysfonctionnements difficiles à rééduquer. Sur des terrains fragiles, cela peut même s’avérer irréversible.

    Les troubles de l’humeur et les séquelles psychiatriques

    En dehors de ces risques, il y a aussi les troubles de l’humeur et les problèmes psychiatriques. La personne peut devenir facilement irritable ou encore perdre une importante partie de ses facultés mentales (convulsions, pertes de mémoire, hallucinations, etc). Retenez simplement que l’ampleur des dégâts occasionnés variera en fonction de la quantité inhalée, de la durée, mais aussi de l’état physique du sujet au moment de la consommation. C’est donc la vie entière de l’adolescent qui est en jeu.

    Qu’en est-il des risques de dépendance ?

    À côté de toutes ces séquelles, il faut attirer l’attention sur les risques de dépendance. Bien que le protoxyde d’azote ne soit pas addictif à proprement parler, sa consommation tend à inciter à la récidive. L’individu cherchera presque toujours à l’inhaler de nouveau pour retrouver son effet apaisant et euphorique.

    Il est même très fréquent de constater une augmentation de la dose ingérée à cause du phénomène de tolérance. En d’autres termes, cela signifie que le jeune ne se contentera pas que d’en reprendre. Il voudra à chaque fois une quantité plus importante de gaz hilarant. Autrement, il ne pourra pas expérimenter de nouveau l’effet primaire.

    Nous les professionnels de l’addiction et de l’hypnose lyon, nous préférons donc qualifier l’inhalation de proto de conduite addictive. La substance elle-même est anxiolytique. Pour preuve, plusieurs jeunes sont passés d’une cartouche par jour à 25 en seulement quelques semaines.

    D’autres peuvent même en inhaler 100 la journée. Rien qu’en parlant des risques de dépendance encourus, cela est déjà colossal. En tenant également compte des dangers physiologiques et psychologiques, l’on ne peut que s’alarmer.

    Quelles sont les mesures à prendre pour contrôler l’usage de ce gaz par les adolescents et limiter ses effets ?

    Au regard de la situation qui prévaut, vous convenez avec moi que des dispositions s’avèrent nécessaires pour contrôler l’usage du gaz hilarant par les adolescents et limiter ses effets. De mon point de vue, il doit surtout s’agir d’une approche préventive.

    Poursuivre la sensibilisation sur les dangers du protoxyde d’azote

    Premièrement, il est essentiel de poursuivre les efforts de sensibilisation sur les dangers du gaz hilarant. Si les jeunes continuent d’en faire un mauvais usage, c’est sans doute parce qu’ils ne sont pas encore pleinement conscients des dangers qu’ils encourent. Ce produit peut changer la perception en seulement quelques secondes.

    Lorsqu’il est mélangé avec d’autres substances (alcool, stupéfiants, etc) comme les adolescents le font, il génère des effets encore plus dévastateurs notamment sur le cerveau. En tant qu’adultes, nous devons donc multiplier les campagnes de sensibilisation afin de leur ouvrir les yeux. Je pense que les médias ont aussi un rôle très important à jouer.

    Renforcer les mesures de réglementation de l’utilisation du gaz hilarant

    Deuxièmement, il faut renforcer les mesures de réglementation en ce qui concerne l’utilisation de ce produit. L’interdiction de la vente du proto aux mineurs par la loi est un premier pas. Les efforts des associations militant pour le retrait de ces produits nocifs que l’on retrouve en vente libre sur le marché sont aussi à louer. Néanmoins, nous devons encore mieux contrôler les voies et moyens par lesquelles nos jeunes se procurent le N2O

    Rester en alerte pour identifier les cas d’inhalation et consulter un professionnel le plus tôt possible

    Enfin, je pense qu’il faut rester en alerte afin d’identifier tout cas d’inhalation. Comme mentionné plus haut, le plus vite cela est diagnostiqué, meilleures sont les chances de rémission. Même s’il est difficile de se rendre compte lorsque son enfant a consommé du proto, cela n’est pas impossible.

    Je recommande donc aux parents de prêter une attention particulière aux signes caractéristiques (fourmis dans les mains, vertiges, etc) et de consulter un professionnel de la santé à l’apparition de ces derniers. Pour une prise en charge optimale, le médecin et l’addictologue lyon sont tous deux d’un important secours.

     

     

  • Ce qu'il faut savoir sur la dépression saisonnière

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    La santé de l'homme est souvent soumise à des maladies. Certaines maladies ont une fréquence ou saison d'apparition chez l'homme. C'est le cas de la dépression saisonnière. Elle est en vogue et fait plusieurs victimes dans le monde. Pour plusieurs raisons, l'homme en est atteint et subit ses dommages. Ainsi, on se demande quelles peuvent en être les causes de ce mal ? Comment se manifeste-t-il ? Quelles sont les solutions à employer contre cette maladie ? Lisez cet article pour en savoir plus.

    Définition de la dépression saisonnière

    La dépression saisonnière est une maladie qui affecte le cerveau. C'est un trouble affectif que l'homme rencontre suite au déficit de lumière naturelle. Elle apparaît chez l'individu à un moment fixe de l'année, raison pour laquelle on l'appelle dépression saisonnière. Le plus souvent, cette maladie surgit en hiver. En effet, les journées sont très courtes en hiver, ce qui est dû à l'absence de lumière. Selon la médecine, on parle de dépression saisonnière lorsqu'elle survient chez l'individu pendant deux saisons consécutives.

    Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?

    Comme on l'a souligné précédemment, la dépression saisonnière est le fruit de la baisse de luminosité chez l'homme. En effet, il y a des gens qui sont très sensibles à l'obscurité. Ainsi, quand la lumière est presque absente, la mélatonine est affectée. Or, la mélatonine est un neuromédiateur dans le cerveau humain qui se charge de la régulation du rythme circadien pertinent. Cette mélatonine est le plus souvent déclenchée sous l'effet de la lumière sur la rétine. Ainsi, les patients observent leur horloge biologique interne se dérégler. À cet effet, les patients se retrouvent progressivement dans la dépression saisonnière.

    Quels sont les symptômes de la dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière a des signes qui la font remarquer chez l'individu. Au nombre de ces symptômes, il faut noter que le patient pressent la fatigue. Il est tout le temps fatigué et manque d'énergie pour réagir de façon prompte face à une situation. De même, le sujet souffrant de ce mal est souvent irrité. Si vous souffrez de ce mal, vous aurez aussi des troubles de l'humeur, ce qui vous plongera dans une tristesse permanente. Par ailleurs, la dépression saisonnière se fait remarquer aussi par la baisse de libido chez l'homme. Ainsi, l'homme a de difficulté à se mettre en érection malgré les stimulations à lui faites.

    Un autre symptôme de la dépression saisonnière est la dévalorisation de soi. Autrement dit, le patient n'a plus aucune estime pour lui-même. Sa vie n'a plus de valeur à ses yeux et il préférerait même mourir que de vivre. Aussi, ce mal se traduit par le manque de concentration. Une fois que vous en êtes atteints, vous aurez du mal à se concentrer pour mieux réfléchir face à une situation et se décider. De même, le manque d'envie atteint son paroxysme si vous souffrez de la dépression saisonnière.

    Qui faut-il consulter en cas de dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière est un mal que peut diagnostiquer un médecin généraliste. Mais eu égard à la subtilité de ce mal, il est préférable de faire recours à un psychiatre. En effet, les psychiatres sont mieux outillés pour détecter ce mal. À l'aide des séances de la luminothérapie, ils peuvent faire la nuance du type de dépression que souffre le patient. Ainsi, s'il s'agit réellement de la dépression saisonnière, les séances de luminothérapie vont le confirmer.

    À quel moment faut-il faire un test sur la dépression saisonnière ?

    Le test sur la dépression saisonnière ne doit pas se faire de façon maladroite. Il faut donc prendre le soin d'analyser le mal dont on souffre. Ainsi, quand vous verrez que les symptômes suscités se retrouvent à votre niveau, alors vous pouvez consulter un médecin qui saura vous orienter. Le diagnostic se fait en posant des questions au patient sur les manifestations de ce trouble dans son organisme. Vous pouvez aussi faire ce test quand vous constatez que le mal se met à troubler considérablement votre vie quotidienne. On peut aussi diagnostiquer ce mal en faisant l'hypnose.

    Comment lutter contre la dépression saisonnière ?

    La lutte contre la dépression saisonnière passe par l'association de la psychothérapie et la luminothérapie. La luminothérapie permet essentiellement de compenser le manque de lumière sur la rétine. Pour y parvenir, les psychiatres soumettent les patients à des séances qui sont faîtes tous les matins à partir du mois d'octobre et de novembre. L'objectif est d'éviter l'obscurité dans la vie du patient tout en la remplaçant par la lumière. Ce traitement se poursuit le plus souvent jusqu'au printemps. Aussi, le patient dans sa maison, peut marcher sous le soleil tous les matins afin de cumuler assez de lumières sur sa rétine.

    Par ailleurs, il est demandé aux personnes souffrant de la dépression saisonnière de consommer la vitamine D. En la prenant, cela agit sur le moral de l'individu. Aussi, les capacités de concentration et de mémoire sont améliorées par la consommation de la vitamine D. Un traitement médicamenteux peut être privilégié quand la dépression s'avère très sévère chez le patient.

    Dans l'objectif de lutter contre la dépression saisonnière, il est aussi demandé aux patients de changer leur cadre de vie en temps d'hiver. En effet, comme l'absence de lumière est la cause de ce mal, il urge donc de choisir un milieu plus éclairé. Ainsi, vous pouvez opter pour les destinations les plus soumises aux rayons solaires. Si votre pays est soumis à des variations de climat et de température, vous pouvez se déplacer à l'intérieur du pays pour atterrir dans la zone le plus favorable. S'il y a lieu que vous sortez carrément du pays pour profiter d'autres horizons rentables à cet effet, vous pouvez le faire.

    Quelles sont les conséquences de la dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière comme on l'a mentionné plus haut a des symptômes très graves sur la vie de l'homme. Ainsi, quand le traitement échoue, certains patients perdent le goût de la vie. Ils ne sont plus motivés à vivre comme les autres. Ils vivent dans le désespoir et se négligent complètement. Du coup, certains patients sont même poussés vers le suicide. De même, on a du mal à appartenir à la société.

  • La dépendance aux jeux, les joueurs compulsifs

    Les joueurs compulsifs sont des personnes qui ont un désir ou besoin irrationnel et irrésistible qui les poussent à ne trouver que les jeux représentent la solution à toutes situations de tristesse de leur vie. Ainsi, le jeu qui est considéré comme source de plaisir et d’amusement, devient un besoin quotidien. Des études ont montré que l'addiction aux jeux de hasard et d'argent est le résultat d'une série de facteurs qui affectent progressivement le comportement de la personne qui joue et son rapport au jeu. À travers cet article nous essayerons de comprendre les contours de la dépendance aux jeux.

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    Les facteurs pouvant conduire à une dépendance aux jeux

    Plusieurs facteurs expliquent les causes qui conduisent à la dépendance aux jeux. Voici :

    Le facteur d'influence des autres joueurs

    Si les gens autour de vous jouent, vous courrez également un plus grand risque de jouer. Cependant, l'apprentissage et le jeu en famille se font généralement sans mesures de prévention des risques. Par conséquent, vous pourriez bientôt être influencés par les propos de votre proche, par exemple. Il lui sera plus facile de se vanter de ses gains plutôt que de ses pertes afin de vous persuader de jouer également le jeu.

    Le facteur de l’habitude

    Le jeu doit d'abord être divertissant. Mais cela deviendra vite une habitude, voire une routine. Avec la migration massive vers le jeu en ligne, notamment en raison de la pandémie de COVID-19, il est devenu plus difficile de contrôler le temps passé à jouer à des jeux. Par exemple, lorsqu'une machine à sous est à bout de main sur votre téléphone ou votre ordinateur. Vous pouvez ainsi rapidement créer une routine.

    Le facteur de l’illusion de contrôler les opportunités

    Il y a un facteur hors de notre contrôle : le hasard. Pour lui, l'intelligence et les compétences ne comptent pas. Cependant, face à un jeu de hasard, vous appellerez involontairement votre sagesse, comme s'il s'agissait d'un jeu d'adresse. Vous développez des stratégies, des rituels. Mais c'est futile. L'opportunité est imprévisible et incontrôlable : elle nous laisse tous impuissants, que nous soyons intelligents ou non.

    Le facteur des prédispositions psychologiques

    Certains facteurs psychologiques peuvent conduire au développement d'une dépendance, qu'il s'agisse du jeu ou d'autres comportements ou substances. Voici quelques exemples :

    trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH)

    une situation personnelle, familiale ou professionnelle stressante,

    traumatisme de l'enfance,

    besoins non satisfaits,

    difficile de traiter le problème,

    faible tolérance à l'ennui, etc.

    Ces facteurs peuvent provoquer un déséquilibre émotionnel, ce qui rend les gens plus susceptibles de devenir dépendants.

    Le facteur environnement

    Ce facteur est à la base du développement des problèmes de jeu, car il existe de nombreuses possibilités de jeu à proximité des domiciles : appareils de loterie vidéo dans les casinos, bars, restaurants et tavernes à proximité, dépanneurs ou épiceries... Cela augmente les bénéfices du jeu. L’existence du jeu contribue à façonner un environnement dans lequel le jeu est accepté, encouragé et même promu par la société.

    Le facteur conditionnement et fièvre du jeu

    Lorsque vous commencez à jouer, vous êtes exposés à une certaine forme de conditions. Les récompenses de jeu aident à développer des erreurs de pensée, modifiant ainsi votre perception et votre expérience en tant que joueur. Cela est particulièrement vrai lorsque vos premières parties se soldent par une série de victoires plus ou moins élevées. Cette illusion de chance crée un sentiment d'euphorie lorsque vous découvrez le jeu pour la première fois et vous invite à recommencer. En fait, le cerveau se souvient plus facilement des gains que des pertes, et vous allez vite croire que la possibilité va bientôt s'inverser à nouveau : vous approchez d'un piège.

    Comment changer de vie en tant que joueur compulsif ?

    Discuter de votre problème à vos proches

    Une étape délicate à ne pas négliger dans le processus. Il est très difficile de se battre seul et d'arrêter les choses hors de votre contrôle. N'hésitez pas à en parler à vos proches et professionnels, ils sauront vous soutenir, vous encourager et vous aider à comprendre ce qui freine votre évolution dans le jeu.

    Accepter et faites le deuil de l’argent perdu

    Trouvez des solutions concrètes et réelles à vos difficultés financières. C’est vrai qu’il est difficile de l’accepter, mais il faudra le consommer pour y parvenir. L'opportunité est hors de contrôle. Que vous y jouiez une ou dix mille fois, vous vous en souvenez : le jeu n'a pas de mémoire. Ce n'est donc pas une solution.

    Favoriser les chances en votre faveur

    Ne passez pas par votre lieu de jeu préféré, évitez d'emporter de l'argent avec vous... Protégez-vous en décidant d'interdire l'entrée au casino, etc. Obligez-vous à respecter vos nouveaux principes.

    Pourquoi l’hypnose pour se guérir de la dépendance aux jeux ?

    L'hypnose est une thérapie douce qui peut aider les personnes ayant des problèmes de dépendance au jeu à reprendre le contrôle de leurs impulsions et à faire disparaître la plupart des conséquences négatives du jeu. D'une manière générale, notre cerveau enregistre un schéma fonctionnel précis en fonction de nos habitudes. Par exemple, une personne accro au jeu doit jouer constamment à des jeux pour se sentir heureuse. Sinon, elle sera malheureuse. Ce schéma était profondément enraciné dans son cerveau et est rapidement devenu une réalité immuable dont il ne pouvait pas s'écarter.

    De nombreuses personnes ont essayé de lutter contre la dépendance au jeu, mais ont échoué. Lorsqu'ils se répètent sans cesse la même phrase : « Je veux vraiment arrêter de jouer, mais je n'y arrive pas », ces personnes tombent dans une dépendance qui est principalement addictive inconsciemment. Et c'est là que l'hypnose cherche des solutions. Au cours du processus d'hypnose, le patient entre progressivement dans un état de relaxation profonde, et son cerveau va progressivement baisser sa vigilance pour permettre à de nouvelles informations de se produire. L'hypnothérapeute lui dicte alors des suggestions comportementales pour l'aider à lutter contre la dépendance aux jeux.

     

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  • Les nouvelles drogues de synthèse

    Les nouvelles drogues de synthèse (NDS) sont des substances psychoactives qui tentent de reproduire les effets de produits illégaux existants, tels que l'ecstasy/l'ecstasy, les amphétamines, la cocaïne, la marijuana, les psychédéliques… Mais la plupart d’entre elles sont beaucoup plus fortes, plus dangereuses, et disposent d’une simulation plus addictive. Il existe des centaines de NPS avec des propriétés très différentes.

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    Un grand nombre de cathinones existe, chacune avec ses propres caractéristiques. Les risques sont principalement neurologiques, mentaux et cardiaques. Ils peuvent être différents selon l’état mental et physique du consommateur au moment de la consommation, ainsi que la quantité et la durée de la consommation.

    L’utilisation de cathinone peut provoquer une maladie mentale grave, qui peut durer plusieurs jours après l’arrêt de l’utilisation, même après l’administration du traitement. Elle se caractérise par des attaques de panique prolongées, des états délirants, des hallucinations, de la paranoïa et des attaques contre les autres ou contre vous-même.

    Toute consommation est à risque. Lorsque vous vous sentez fatigué, stressé, malade ou inquiet, il est préférable de l’éviter.

    Les opioïdes

    Les opioïdes sont une classe de substances naturelles ou synthétiques extraites de l’opium, et sont une substance extraite du pavot à opium.

    Dans cette famille, on distingue les opioïdes prescrits (analgésiques opioïdes et thérapie de substitution) et les opioïdes illégaux vendus au marché noir (héroïne, nouveaux opioïdes de synthèse, etc.). L’usage répété d’opioïdes, même ceux prescrits par un médecin, peut également présenter un risque de dépendance. En cas de consommation excessive, il existe un risque de surdosage. Ce risque augmente avec les opioïdes de synthèse car ils sont beaucoup plus puissants et leur teneur en principe actif est très incertain.

    Les opioïdes se présentent sous de nombreuses formes : sirops, gélules, comprimés, patchs, applicateurs oraux, injections, sprays, suppositoires, poudres, pilules, buvards, etc.

    Les principaux risques des opioïdes sont le surdosage et la dépendance. En fait, le surdosage est une urgence médicale et peut entraîner la mort. Cela se produit lorsque la quantité consommée dépasse la limite que le corps peut tolérer. (Voir aussi le chapitre sur les recommandations de réduction des risques)

    Par conséquent, afin de réduire le risque, il est important de ne pas mélanger plusieurs opioïdes. Ne pas mélanger avec de l’alcool, des benzodiazépines, une thérapie de remplacement des opioïdes et d’autres dépresseurs du système nerveux central : augmente le risque de dépression respiratoire.

    Les pipérazines

    La pipérazine est une classe de produits chimiques dont l’effet stimulant est similaire à celui de l’ecstasy et de l’amphétamine.

    Trois pipérazines sont en circulation depuis de nombreuses années : la BZP (benzylpipérazine), la TFMPP et la mCPP. Veuillez noter que TFMPP est presque toujours fourni en combinaison avec BZP, ce qui renforce son effet. La pipérazine se présente sous plusieurs formes : poudre, gélule, comprimé et liquide.

    Les utilisateurs soulignent que les effets secondaires sont particulièrement nombreux et désagréables.

    Nausées et vomissements, changements brusques de température (une forte sensation de chaleur suivie d’une sensation de froid) ; muqueuses sèches, en particulier bouche sèche.

    La durée de l’effet ainsi que certains effets secondaires et certaines réactions d’hypersensibilité sensorielle (tactile, visuelle, auditive) peuvent déclencher des crises de panique chez les utilisateurs. La survenue de ce « bad trip » ouvre la porte à des complications psychologiques pouvant nécessiter une prise en charge psychiatrique.

    Par conséquent, afin de minimiser le risque, vous devez être attentifs à la dose que vous prenez. Il est conseillé de prendre une petite dose pour la première fois et d’attendre que l’effet se fasse sentir. L’effet peut mettre longtemps à apparaître et durer longtemps, et parfois il est presque tolérable. Plus la dose prise est élevée, plus les effets secondaires désagréables auxquels l’utilisateur sera confronté.

     


    Effets des nouvelles drogues synthèse

    Les nouvelles drogues de synthèse causent un puissant sentiment d’euphorie chez les consommateurs, principalement en raison de leur effet sur les neurones dopaminergiques, responsables du plaisir. Ces médicaments peuvent également aider les utilisateurs à rester éveillé, notamment en provoquant une augmentation rapide des taux de noradrénaline.

    De plus, la consommation de nouvelles drogues de synthèse a pour effet d’augmenter l’énergie, d’augmenter la capacité à effectuer des tâches simples habituellement affectées par la fatigue, de donner aux gens l’impression d’une plus grande puissance physique et intellectuelle et de provoquer une certaine euphorie.

    À faibles doses, la nouvelle drogue de synthèse conçue peut produire une euphorie et une stimulation similaires à celles de l’amphétamine. Cependant, il est plus puissant et plus addictif. De plus, dans de nombreux cas, il peut être toxique.

     

    Conséquences des nouvelles drogues de synthèse

    En raison des effets graves de ces médicaments, les personnes qui les utilisent peuvent se sentir épuisées et tomber dans un état de dépression, ce qui entraîne des idées suicidaires et devient agressif. Comme d’autres médicaments conçus, les nouvelles drogues de synthèse peuvent endommager le cerveau de façon permanente. Le risque de dépendance psychologique est plus grand que celui des produits ordinaires car ils sont plus efficaces. Lorsque la drogue est prise sous forme de méthamphétamine, la dépendance sera plus rapide.

    D’un autre côté, l’utilisation continue de nouvelles drogues synthétiques entraîne généralement une perte de poids, bien qu’il ait été observé qu’une tolérance aux effets coupe-faim peut se développer rapidement. En fin de compte, les utilisateurs de ces types de substances peuvent souffrir de psychose toxique, qui se caractérise par des hallucinations, des délires ou des persécutions, ainsi que des comportements hostiles voire violents. Bien que l’apparition de la psychose ne dure généralement pas plus de quelques jours, elle peut être prolongée, principalement chez les personnes atteintes de maladie mentale.

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  • Pourquoi consulter un addictologue ?

    Un addictologue est un professionnel de santé, spécialisé en psychologie qui accompagne ses patients pour comprendre, analyser et guérir de leurs conduites addictives. Pour ma part, je suis addictologue sur Lyon, en France, et je peux soigner tout type de comportement addictif. Et, il s’agit de mon métier, que j’exerce au quotidien en utilisant l'hypnose comme outils principal d'accompagnement.

     

    Dans cet article, je vous expliquerai ce qu’est une conduite addictive, comment les remarquer et les déceler chez vous ou dans votre entourage proche. Ensuite, nous verrons une typologie d’addictions allant du sexe à l’alcool en passant par le jeu et la cigarette.

     

    Ensuite, nous verrons dans cet article comment se sortir d’une addiction. Ainsi, je vous expliquerai les manières existantes pour sortir de ces problèmes qui vous polluent le quotidien et qui répercutent souvent très nocivement votre santé.

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    Qu’est-ce que les conduites addictives ? 

     

    Les conduites addictives sont une série d'actes habituels centrés autour d'un objet, d'une activité, d'une substance ou d'une situation au point de devenir le point central de la vie d'un individu.

     

    L'individu se préoccupe généralement de ce type de comportements avant toutes les autres activités, à l'exception des conséquences négatives qu'ils causent à l'individu et aux autres. Certains comportements addictifs courants incluent la suralimentation compulsive, le jeu, la dépendance à Internet, la dépendance alimentaire et la toxicomanie.

     

    L’addiction au sexe 

     

    L'addiction au sexe est l'une des formes d'addiction les plus largement rapportées. Environ 25 pour cent des personnes qui se rendent dans un centre de traitement de la toxicomanie souffrent d'une dépendance sexuelle. La dépendance sexuelle est quelque peu différente des autres dépendances en ce sens qu'il existe un modèle clair de comportement. Les toxicomanes sexuels se livrent généralement à des actes répétés de masturbation ou s'impliquent dans plusieurs partenaires. Dans certains cas, les toxicomanes sexuels se sont également impliqués dans des actes sexuels avec un partenaire vivant ou ont fécondé une mineure. Certains accrocs choisissent de se livrer à des délits sexuels tels que l’exhibition publique. D’autres, à l’inverse, se concentrent sur une masturbation excessive, ou sur la nymphomanie.

     

    L’alcoolisme 

     

    L'alcool est un autre comportement hautement addictif. Comme les toxicomanes sexuels, les personnes qui ont une dépendance à l'alcool ont souvent des comportements répétitifs qui les obligent à boire pour rester planées. Les personnes souffrant d'alcoolisme sont centrées autour de leurs consmmationq. Si l'utilisateur ne peut plus contrôler ses compulsions à boire, il peut utiliser l'alcool comme moyen de faire face ou d'échapper à la réalité. Après avoir subi une rechute et réalisé qu'ils ne peuvent pas contrôler leurs compulsions, ces toxicomanes doivent suivre un programme en 12 étapes afin de récupérer et de se débarrasser définitivement de leur dépendance à l'alcool.

     

    L’addiction à la cigarette 

     

    La dépendance à la cigarette est une maladie comme une autre et si vous vous êtes adonné à cette pratique, alors vous devez comprendre la douleur qui l'accompagne. Le processus d'abandon est très difficile, mais si vous le faites, il y aura une énorme différence dans votre vie. Les cigarettes contiennent de la nicotine qui provoque l’addiction. Les produits chimiques contenus dans le tabac agissent sur votre système nerveux et cela affecte votre cerveau. Une fois que votre esprit s'est habitué à fumer, il y a de fortes chances que vous commenciez à avoir envie de fumer de façon régulière et répétée..

     

    La dépendance à la cigarette s'est avérée être l'une des principales causes de mortalité chez les jeunes, en particulier les jeunes fumeurs. Les statistiques indiquent qu'environ les deux tiers de tous les jeunes commencent à fumer à un âge précoce. Et ces jeunes fumeurs ne sont pas du tout conscients des dommages que cela peut causer à leur corps à long terme. La dépendance à la cigarette est une maladie grave et il faut arrêter de l'utiliser une fois pour toutes. Si votre enfant fume, ou si vous êtes vous-même un jeune fumeur, je vous recommande de consulter un addictologue.

     

    Reconnaitre la dépendance au tabac 

     

    Il y a certains signes avant-coureurs qui accompagnent la dépendance à la cigarette et ceux-ci incluent être préoccupé par l'idée de fumer une autre cigarette, vouloir fumer une cigarette après les repas ou les collations, perdre le sommeil et devenir irrité lorsque vous manquez une cigarette. Si vous souffrez de l'un de ces symptômes, il est tout à fait évident que vous avez développé l'habitude d'un trouble lié à l'usage du tabac. S'il est déterminé que vous avez développé un trouble lié à l'usage du tabac, divers traitements sont disponibles. Cependant, les méthodes de traitement et le temps pris varient selon la personne touchée.

     

    Des études ont prouvé que la consommation régulière de tabac est nocive pour la santé des utilisateurs. Il peut également provoquer diverses maladies, notamment le cancer, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, etc.

     

    Soigner l’addiction à la cigarette 

     

    Beaucoup de personnes sont convaincues qu'il est très difficile d'arrêter de fumer. Cependant, ce n'est pas aussi difficile que vous le pensez. Il existe diverses thérapies de remplacement de la nicotine telles que les gommes, les patchs et les inhalateurs disponibles sur le marché qui facilitent grandement la tâche d'arrêter de fumer. Les inhalateurs aident à donner une sensation de fraîcheur à l'utilisateur et ainsi à soulager les envies de cigarettes. Les patchs, quant à eux, libèrent de la nicotine dans l'air et réduisent les fringales.

     

    En tant qu’addictologue basé à Lyon, j’ai soigné énormément de personnes contre leur addiction à la cigarette. Une de mes principales thérapies que je recommande, c’est l’hypnose. Contrairement aux patches ou aux autres techniques, on ne fournit pas au cerveau la nicotine qu’il réclame.

     

    Avec l’hypnose, on agit directement sur le cerveau, sans compensation. C’est une technique radicale, qui nécessite néanmoins une confiance absolue de la personne qui reçoit le traitement. En effet, sans sa coopération, une telle pratique est impossible à réussir.

     

     

    La dépendance au jeu 

     

    Le jeu est une autre dépendance qui oblige les personnes addicts à lutter contre une puissante envie. Les personnes qui jouent sont constamment à la recherche de moyens de gagner de l'argent. Ils peuvent visiter plusieurs sites Web ou parier plusieurs devises sur le jeu de sport ou la course de chevaux.

     

    Distinguer les toxicomanies comportementales 

     

    La principale différence entre les toxicomanies et les toxicomanies comportementales réside dans le fait que les toxicomanes combattent une pulsion interne, tandis que les toxicomanes comportementaux se battent contre des pulsions externes. Par exemple, si vous avez faim toute la journée mais que vous ignorez votre désir de manger, vous avez un problème de toxicomanie. En revanche, si vous mangez toute la journée mais ignorez votre envie de sortir et d'acheter de la nourriture, vous avez un problème de dépendance comportementale. Les toxicomanies sont généralement plus difficiles à traiter, bien que la guérison des dépendances comportementales soit possible.

     

    Tous les toxicomanes ont des compulsions différentes qui les poussent à adopter des comportements addictifs. Cependant, tous les toxicomanes sont aux prises avec des compulsions mentales telles que le désir de jouer, de consommer des substances illégales, de sauter le travail, de se livrer à des activités dangereuses telles que conduire en état d'ébriété, etc. La plupart des toxicomanies nécessitent un traitement dans une clinique de réadaptation et de nombreuses personnes atteintes de troubles mentaux ont besoin de thérapie intensive afin de surmonter leurs comportements d'engagement compulsif. Dans la plupart des cas, ces toxicomanes ne sont pas en mesure de surmonter leurs comportements d'engagement compulsif sans des conseils intenses et parfois même une réadaptation en milieu hospitalier.

     

     

    Guérir d’un comportement addictif en consultant un addictologue 

     

    Les comportements addictifs sont souvent appris : on ne naît pas accroc, on le devient. Il est possible qu'un individu développe une dépendance à l'alcool, à la drogue, au jeu, au sexe, au shopping, etc. Cependant, pour la plupart des gens, les comportements addictifs commencent dans l'enfance et la plupart des toxicomanes ne peuvent pas résister à leur envie de consommer des substances.

     

    L'une des clés les plus importantes pour une guérison réussie de la dépendance est de s'assurer que vous reconnaissez vos comportements de dépendance dès le début. Un bon indicateur de comportement addictif est de découvrir ce qui vous pousse à consommer des substances et une fois que vous avez compris vos besoins émotionnels et vos autres motivations, vous pouvez élaborer un plan pour surmonter votre problème.

     

    Il existe aujourd'hui de nombreux programmes d'auto-assistance pour aider les toxicomanes à se remettre de la toxicomanie. Cependant, il est important de se rappeler que les dépendances sont assez complexes. De nombreuses personnes souffrent de dépendances mais ont réussi à s'en remettre. En tant que professionnel reconnu, vous pouvez venir me consulter en tant qu’addictologue à Lyon. N’hésitez pas à prendre rendez-vous depuis mon formulaire de contact.

     

    Comment surmonter une conduite addictive ? 

     

    Les comportements addictifs peuvent être difficiles à surmonter, surtout si la dépendance est grave. Cependant, il est possible de les surmonter de différentes manières. Le moyen le plus efficace d'arrêter de s'engager dans des comportements addictifs est de suivre une thérapie cognitive et comportementale intense afin de modifier les connexions neuronales dans le cerveau qui permettent un comportement compulsif.

     

    Les programmes de réadaptation utilisent souvent une variété de thérapies différentes pour aider leurs patients à rompre avec ces habitudes. Les thérapies les plus populaires utilisées pour arrêter de consommer de la cocaïne, du crack, de l'alcool, etc. sont complètes et à plusieurs volets. Pour ma part, ce sont des thérapies que je peux engager en tant qu’addictologue lyonnais.

     

    Consulter un addictologue 

     

    Lorsqu'une personne devient accro à l'alcool, ou à toute autre substance, elle éprouve des envies intenses. Cependant, ce n'est pas la substance elle-même qui crée une dépendance; ce sont les aspects psychologiques de l'esprit d'une personne qui le sont. Lorsque la chimie du cerveau est altérée par trop d'alcool, la personne peut se sentir déprimée, irritable, anxieuse et même suicidaire. Afin de vaincre l'alcoolisme, le patient doit d'abord vaincre la dépendance psychologique à l'alcool.

     

    Il est important de comprendre que les toxicomanes ne choisissent pas de devenir dépendants de substances qui font l'objet d'abus. Plusieurs fois, ils tombent sur une dépendance cachée enfouie au plus profond de l'esprit subconscient. Une fois la substance introduite dans le corps, la personne aura besoin d'aide pour lutter contre les fringales et contrôler la chimie de son cerveau. En consultant un addictologue qualifié en toxicomanie, une personne peut tout savoir sur les différentes options de traitement qui s'offrent à elle et peut commencer à lutter contre sa dépendance dès aujourd'hui.

     

    Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles une personne souhaite consulter un spécialiste des addictions au sujet de sa toxicomanie ou de sa dépendance. Certaines de ces raisons peuvent inclure le risque d'endommager le corps s'ils continuent à boire de l'alcool. Le médecin peut également conseiller le patient sur la façon de rester sans alcool en mettant en œuvre des techniques quotidiennes d'exercice, de méditation et de pensée positive.

     

    Il existe un certain nombre de raisons différentes pour lesquelles une personne souhaite consulter un addictologue au sujet de sa dépendance. L'une des raisons les plus courantes est qu'ils souffrent de symptômes de sevrage. Dans de nombreux cas, les alcooliques recevront des conseils, mais ils peuvent également choisir de consulter un addictologue pour déterminer s'il existe des problèmes médicaux sous-jacents à l'origine de leurs problèmes. Si un patient a un problème de santé mentale, il doit immédiatement consulter un professionnel qui s'occupe spécifiquement de ce problème. Bien que le problème puisse être psychologique, il peut toujours être très physique.

     

    Une autre raison de consulter un expert est lorsqu'une personne a reçu un diagnostic de trouble de l'alimentation, comme l'anorexie. Ces troubles de l'alimentation peuvent causer de graves problèmes corporels et même entraîner la mort. Cependant, pour que le trouble soit correctement traité, la personne doit consulter un professionnel, comme un spécialiste de l'anorexie. Cette personne peut diagnostiquer le problème et prescrire le traitement approprié.

     

    Enfin, il existe de nombreuses raisons de consulter un addictologue pour tout problème lié à l'abus d'alcool ou de drogues. Cela comprend des questions générales sur la toxicomanie, telles que la fréquence à laquelle elle se produit, le type de substances impliquées et la gravité de la dépendance. Un professionnel sera également en mesure de déterminer si la dépendance nuit ou non à la vie de la personne ou entraîne d'autres problèmes, tels que la dépression, l'anxiété et l'activité criminelle. Pour ma part, je suis un addictologue à Lyon qui reçoit sur rendez-vous. Sentez-vous libres de me contacter, vous êtes protégé par le secret médical.

  • Addictologie et hypnose: la formule gagnante ?

    Pour réagir et sortir d’une addiction, l’hypnose ericksonienne peut être utilisée lors d'une thérapie brève afin de pallier à ce problème.

    Il existe aujourd'hui de très nombreuses formes de dépendances allant des plus classiques comme le tabac ou l'alcool, à des formes beaucoup plus modernes comme la cyberdépendance ou les achats compulsifs.

    Utilisé entre autres à l'hôpital de Blois, Yann Botrel, hypnothérapeute à Lyon, est spécialisé dans le traitement des dépendances et dans l'amélioration des potentiels. L'hypnose n'est certes par une baguette magique, mais grâce à une thérapie basée sur la valorisation des capacités, il agit comme une thérapie complémentaire voir principale pour s'affranchir d'une addiction.

    Bien souvent, les personnes addictes sont victimes d'un facteur aggravant de l'ordre du trouble anxieux comme le stress ou l'anxiété.

    L'hypnothérapie : késako ? 

    L'hypnothérapie est un traitement de la dépendance fondé sur des preuves, qui peut également être utilisé pour traiter une variété d'autres difficultés psychologiques. L'hypnothérapie combine le processus psychologique de l'hypnose avec la psychothérapie. L'hypnothérapie est menée par un thérapeute qualifié, généralement un psychologue agréé, avec un client qui est informé du processus, le comprend et y consent.

    L'hypnose est un état de conscience modifié, connu sous le nom d'état de transe, qui est délibérément induit par une personne - l'hypnotiseur ou l'hypnothérapeute - sur une autre personne ou un groupe de personnes - le ou les sujets hypnotiques. Le changement de conscience qui se produit sous hypnose est plus qu'une simple sensation, il peut être mesuré et observé sur les relevés EEG du cerveau des sujets hypnotiques.2 Dans l'état hypnotique, le sujet est plus ouvert à la suggestion.

    L'autohypnose (ou auto-hypnose) est la pratique consistant à induire l'hypnose chez soi. La principale distinction entre l'hypnose guidée et l'auto-hypnose est simplement que l'auto-hypnose nécessite de comprendre comment induire l'hypnose chez soi.

    Comment utiliser l'auto-hypnose pour la gestion du stress ? 

     

    Comme nous l'avons vu dans l'introduction, la plupart des patients atteints d'addictions font face à un facteur aggravant bien souvent issu du stress ou de l'anxiété. L'auto-hypnose peut être une solution efficace pour réduire l'impact des troubles anxieux afin de pouvoir traiter ensuite l'addiction en elle-même.

     

    Cette forme de thérapie est ressentie comme un état de transe, une personne devient moins consciente de ce qui se passe autour d'elle et se concentre profondément sur un aspect de son expérience intérieure. Ces expériences intérieures peuvent concerner ses pensées, ses sentiments, ses souvenirs, son imagination et ses sensations, en particulier les sensations associées à la relaxation.

    Il existe trois aspects centraux de la transe hypnotique. Ce sont l'absorption, la dissociation et la suggestibilité.

    L'absorption est une sorte de concentration mentale profonde. La personne qui est hypnotisée est profondément absorbée et mentalement impliquée dans ce qu'elle perçoit, imagine ou pense. Elle se concentre très attentivement, de la même manière que vous pouvez être absorbé par un livre que vous lisez ou un film que vous regardez.

    L'aspect dissociatif de la transe hypnotique signifie que la personne hypnotisée sépare les aspects de l'expérience hypnotique sur lesquels elle se concentre des autres distractions potentielles dont elle serait normalement consciente au même moment, à un degré inhabituel. Par exemple, l'hypnotiseur peut suggérer à la personne hypnotisée de lever le bras.

    La personne hypnotisée a en fait le contrôle de ce qu'elle fait, malgré l'expérience dissociative qui pourrait lui donner l'impression que son bras est contrôlé par une force extérieure inconnue d'elle.

    Comment l'hypnothérapie aide à lutter contre la dépendance 

    Pendant une transe hypnotique, la personne hypnotisée, ou sujet hypnotique, est plus ouverte aux suggestions de l'hypnotiseur ou de l'hypnothérapeute. Elle devient généralement plus passive et se plie aux suggestions de l'hypnotiseur ou de l'hypnothérapeute. Sous hypnose, les gens peuvent devenir plus imaginatifs, plus ouverts à la fantaisie, et parfois, plus capables d'accéder à des souvenirs oubliés depuis longtemps, bien que ces souvenirs ne soient pas toujours fiables.

    Cet état de relaxation et de suggestibilité peut aider les gens à avoir une perspective différente sur leurs comportements de dépendance. Ce qui semble normalement impossible - abandonner une substance ou un comportement qui est au cœur de son existence - peut sembler réalisable et souhaitable.

    Bien que chacun réagisse différemment à l'hypnose, certaines personnes suivant un traitement d'hypnothérapie peuvent développer une capacité à se libérer de certains schémas comportementaux à long terme à l'état de veille.

    Il existe de nombreux mythes sur l'hypnose et l'hypnothérapie, et beaucoup d'entre eux soulèvent la question de savoir si l'hypnose est efficace ou sûre. Pourtant, l'hypnose est considérée comme sûre lorsqu'elle est pratiquée par un hypnothérapeute qualifié comme Yann Botrel, et même l'auto-hypnose est également considérée comme sûre. De plus, cet accompagnement sera d'autant plus efficace qu'il est diplômé en addictologie et est donc habitué à traiter tous types de personnalités et tous types d'addictions.

    Certaines études ont montré que l'hypnothérapie peut aider à lutter contre les addictions, car l'hypnose permet à certaines personnes, grâce au pouvoir de suggestion, de renforcer leur volonté pour surmonter leurs pulsions et leurs envies de dépendance. L'état hypnotique diminue la conscience périphérique d'une personne, ce qui augmente son attention et sa suggestibilité et peut modifier efficacement les réseaux neurophysiologiques capables de recâbler certains schémas et conditionnements. Cela signifie que les sentiments et les comportements d'une personne continuent d'être influencés même après qu'elle soit sortie de la transe hypnotique. Ainsi ce praticien en hypnose sera exactement comment vous influencer pour résoudre votre addiction, car il est en effet addictologue sur Lyon.

    Cependant, ceux qui pensent que l'hypnose est en quelque sorte magique et qu'elle effacera leur dépendance en une seule séance risquent d'être déçus. L'hypnothérapie est un outil permettant de libérer le potentiel humain grâce au pouvoir de la suggestion, et non une formule magique.

    L'hypnothérapie n'est pas une solution instantanée 

    Il convient tout de même de considérer le fait que l'hypnose n'est pas une solution instantanée, il vous faudra vous engager dans un long travail de développement personnel pour résoudre ses problèmes d'addictions durablement. L'hypnose peut aider les gens à s'attaquer à leur dépendance et aux problèmes qui y sont associés, mais ces questions sont complexes et difficiles, tant pour le client que pour le thérapeute, et l'hypnothérapie ne fonctionne pas pour tout le monde.

    Nos ateliers 

    Yann Botrel est un hypnothérapeute addictologue sur Lyon qui sera vous accompagner grâce à des ateliers sur une journée spécialement orienté sur les addictions. Pour résumer simplement ce que nous avons vu dans cet article, lors d'une séance d' hypnose, cela agit au niveau inconscient et laisse des suggestions ancrées qui se répercutent dans le conscient et dans les comportements de la vie de tous les jours. Cependant, ce n'est pas une pratique adaptée à tous les profils : il y a une vraie démarche personnelle derrière, de la confiance envers le praticien, une véritable volonté de s'en sortir... Tous ces ingrédients sont essentiels pour réussir à vaincre son addiction !

    Nos ateliers se déroulent dans un cadre propice au lâcher-prise et à la prise de décision, avec un programme en 12 points afin de comprendre tous les aspects du fonctionnement de l'addiction et de mettre en place des solutions grâce à l'hypnose et des techniques comportementales pour des applications pratiques. Ce maître praticien va grâce à des suggestions permissives vous permettre de vous affranchir de votre dépendance. Je vous invite à vous rapprocher de nous pour connaître les prochaines dates d'ateliers à proximité de Lyon.

     

     

     

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  • Une journée pour arrêter - rentrée 2021

    Unejourneepourarreter

    Avec un groupe de 12 personnes maxi, une journée ensemble pour arrêter de fumer pour le prix d'une cartouche de tabac !

    Connaître les mécanismes de l'addiction, motivation de groupe, 2 séances d'hypnose de groupe.

    Dans un cadre proprice, proche de Lyon ! 

    Renseignements : contact@yann-botrel.fr

     

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  • Les drogues de synthèse - Addictologie Lyon

    Les nouveaux produits de synthèse (NPS) sont des substances psychoactives qui tentent de reproduire les effets de produits illicites existants tels que l’ecstasy/MDMA, les amphétamines, la cocaïne, le cannabis, le LSD... Mais la plupart sont beaucoup plus puissants, plus dangereux et plus addictifs que les drogues qu’ils imitent.

    Addictologue Lyon

     

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  • Tout savoir sur le tabac

    Sevrage tabac Yann Botrel

    Le tabac est un produit psychotrope manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes de tabac commun (Nicotiana tabacum), une espèce originaire d'Amérique appartenant au genre botanique Nicotiana (famille : Solanaceae).

    L'usage du tabac s'est largement répandu dans le monde entier à la suite de la découverte de l'Amérique. Sa commercialisation est souvent un monopole d'État et soumise à des taxes qui varient fortement selon les pays.

    Le tabac génère une forte dépendance et sa consommation est responsable de près de 6 millions de décès par an dans le monde dont 600 000 sont des non-fumeurs exposés à la fumée (tabagisme passif). De nombreuses maladies sont liées au tabagisme (maladies cardiovasculaires et cancers, entre autres).

    En 2019, la France a produit 5 320 tonnes de tabac brut sur une superficie de 2 050 hectares, contre 6 910 tonnes sur 2 620 hectares en 2018 ; c'est le 8e producteur de l'Union européenne après l'Italie, la Pologne, l'Espagne, la Grèce, la Croatie, la Bulgarie et la Hongrie. La profession est organisée autour de cinq coopératives, pour un chiffre d'affaires estimé à moins de 30 millions d'euros en 2018 ; à titre de comparaison, la valeur de la production agricole française était de 74,6 milliards d'euros en 2020.

    Lorsque Christophe Colomb arrive en Amérique en 1492, il constate que les Indiens utilisent le tabac pour ses propriétés magiques et médicamenteuses. André Thevet en rapporte des graines et la culture du tabac commence en Europe.

    En 1492, lors de son expédition en Amérique, Christophe Colomb découvre le tabac et le rapporte en Europe, à la Cour espagnole et portugaise, où il est pendant longtemps utilisé comme simple plante d'ornement. Ce n'est qu'au milieu du xvie siècle que le médecin personnel de Philippe II d'Espagne commence à le promouvoir comme « médicament universel ». La première description écrite serait le fait de l'historien espagnol d'Oviedo.

    Il est introduit en France en 1556 par un moine cordelier, André Thevet qui au retour de son séjour au Brésil, en fit la culture dans les environs de sa ville natale d'Angoulême. On l'appelle alors « herbe angoulmoisine » ou « herbe pétun ».

    Dès 1775, les premiers soupçons de relation entre tabac et cancer sont exprimés

     

    Les conséquences

    Il n'y a pas de seuil en deçà duquel on peut fumer sans risque. Les fumeurs occasionnels ont eux aussi de gros risques pour leur santé, au niveau cardio-vasculaire surtout (infarctus, AVC, embolie pulmonaire, phlébite,...). 

    Fumer une cigarette par jour comparé à quelqu'un qui fume vingt cigarettes par jour ne diminue pas le risque par 20 mais seulement par deux ...

    C'est plus la durée d'intoxication au tabac que la quantité consommée qui est importante de prendre en considération.

    Sans compter que le risque de poursuivre un tabagisme occasionnel multiplie les (mal)chances de re-devenir dépendant avec toutes les conséquences qui pourraient suivre et que cela engendre une augmentation de consommation. 

     

    La nicotine : substance de la dépendance

    Présente naturellement dans le tabac, la nicotine est la molécule responsable des syndromes de manque et de dépendance. Elle agit directement sur votre système nerveux et provoque une dépendance puissante, parfois supérieure à celle de la cocaïne ou de l’héroïne. Une fois inhalée, la nicotine met quelques secondes pour arriver au cerveau. Diffusée sous forme de shoot via la cigarette, elle a un effet anxiolytique, coupe-faim et stimulant.

    La nicotine contenue dans les substituts nicotiniques est diffusée de manière lente et progressive de manière à soulager les symptômes de manque, sans provoquer le pic de plaisir et donc entretenir la dépendance. Dans ce cas, les effets de la nicotine liés au tabagisme ne sont pas ressentis. La nicotine n’est pas cancérigène, ce sont les produits chimiques dégagés par la fumée de cigarette qui sont véritablement nocifs pour la santé.

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  • Dépendances sexuelles

    Définition

     

    Sexe devient la priorité absolue dans la vie du sujet pour lequel il est prêt a tout sacrifier (travail, vie

    affective…)

    Source de souffrance

    Recherche plaisir, excitation, apaisement

    Sexualité comme lutte contre un sentiment d’insécurité, faible estime de soi, besoin permanent et jamais assouvi d’affirmation et de réassurance

    Exclut l’autre en tant que personne, objet sexuel

     

    Différentes formes

     

    Masturbation compulsive

    Dépendance aux formes anonymes, payantes ou non, de désir sexuel: pornographie, sexualité par téléphone, cybersexe.

    6 a 9 % des hommes internautes passent plus de 11 heures par semaine a consulter ces sites.

    Recours compulsif a la prostitution ou aux sites de rencontres de partenaires sexuels.

    Fréquentation de clubs échangistes, de sex-shops, de peep shows, de bars lap-dance

    Drague compulsive

    Hyper sexualité

    Dépendance a des drogues ou a des accessoires utilises pour

    augmenter le plaisir sexuel (chems)

    Sexe anonyme (une nuit ou un inconnu),

    Rapports non protégés avec HIV+

    Pratiques ≪ nouvelles ≫: asphyxie, électrocution…

    Rapports compulsifs amoureux multiples (recherche permanente d’une intensité des sentiments a travers de nouvelles aventures) / Fixation amoureuse sur des partenaires inaccessibles.

    Souvent associées a des comportements sexuels a risque

     

    Une dépendance propre a notre société?

     

    Probablement non…mais accélération de la tendance

    Société avide de performance

    Exposition aux images a caractère sexuel

    Sexe attire, fascine et fait vendre

    Quête de soi et consommation a outrance

     

    Eléments cliniques

     

    Besoin plus que désir

    Besoin de nouveauté, nouvelles expériences

    dont il espère toujours plus et ressent finalement

    moins

    ≪ shoot ≫ sexuel exigeant des doses croissantes

    Comportement dissimule, honte et culpabilité

    Isolement

    Proches: manque de disponibilité du sujet qui

    demeure secret, souvent dans le mensonge

    malgré sa souffrance

    Affectivité à part de la sexualité

    Remède a la solitude, la tristesse, une faible estime de soi

    Recours contre toute émotion pénible ou situation qu’il ne sait résoudre

     

    Echelle de Coleman: au moins 2 critères/5

    * Drague compulsive, recherche constante et insatiable

    de partenaires multiples (gestion du stress et anxiété)

    * Sexualité compulsive insatisfaisante dans laquelle

    l’autre est réduit a l’état d’objet partiel

    * Autoérotisme compulsif (masturbation frénétique avec une fréquence de 5 a 15 fois par jour conduisant a des blessures, a une fatigue, voire a des difficultés socioprofessionnelles)

     

    Déclencheurs de crise

     

    Etat dépressif (relancer la machine du désir)

    Emotions désagréables

    Choc psychologique

    Stress important, notamment au travail

    Alcool et fatigue

     

    Conséquences psychologiques, psychiatriques

    Conséquences somatiques :

    infections génitales

    mutilations (liées a des pratiques masturbatoires violentes ou répétées)

    cancers (lies a des pratiques sexuelles non protégées, comme le cancer du col utérin)

    contamination par le VIH ou les autres maladies sexuellement

    transmissibles

    grossesse non désirée, avortement

    Conséquences médico-légales : infractions aux moeurs de tous

    types (appels téléphoniques obscènes, prostitution, exhibition,

    voyeurisme, viol, etc.)

    Désocialisation : endettement, divorce, perte d’emploi, etc.

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  • CSAPA Lyon - Centres de soins en addictologie

    Permet l'accueil des patients
    Propose des conseils aux professionnels non spécialisés

    Les CSAPA (Centres de Soin, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie) assurent, pour les personnes ayant une consommation à risque, un usage nocif ou présentant une dépendance aux substances psychoactives ainsi que pour leur entourage :

    * l’accueil, l’information, l’évaluation médicale, psychologique et sociale et l’orientation de la personne ou de son entourage ; dans ce cadre, ils peuvent mettre en place des consultations de proximité en vue d’assurer le repérage précoce des usages nocifs ;

    * La réduction des risques associés à la consommation de substances psychoactives ;

    * La prise en charge médicale, psychologique, sociale et éducative. Elle comprend le diagnostic, les prestations de soins, l’accès aux droits sociaux et l’aide à l’insertion ou à la réinsertion.

    Les CSAPA peuvent accueillir les usagers en ambulatoire ou bien proposer des services de soin résidentiel. 

    Les CSAPA sont financés par l’Assurance Maladie et portés soit par des associations, soit par des établissements publics de santé. La structure gestionnaire peut par ailleurs gérer un ou des Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction de risques pour Usagers de Drogues (CAARUD).

     

    Le soin résidentiel collectif

    ♦ Accueil des patients

    Les CSAPA peuvent porter des dispositifs de soin résidentiel collectif :

    – Les Centres thérapeutiques résidentiels (CTR) : appelés également centre de post-cure, sont des lieux de soin avec un hébergement collectif. La durée de séjour initiale est variable (de quelques semaines à plusieurs mois, avec des modalités de renouvellement possibles), et peut durer jusqu’à un an. Il s’agit de consolider le sevrage ou le traitement de substitution ou l’abstinence d’une pratique addictive, afin de permettre à la personne de retrouver un équilibre dans un cadre protégé, et de construire un projet individuel de réinsertion sociale.

    – Les Communautés Thérapeutiques (CT) : elles proposent du soin résidentiel avec hébergement collectif, fondé sur une prise en charge où un groupe de résidents-pairs est le moteur du soin et de l’entraide. Comme les CTR, elles accueillent les personnes dont la prise en charge en ambulatoire se révèle insuffisante ou non pertinente. Elles proposent un programme thérapeutique essentiellement basé sur la vie communautaire, les activités de groupe, les interactions avec les pairs, la reconnaissance et l’expression des émotions.

    –  Les Centres d’Accueil d’Urgence et de Transition (CAUT) : ils proposent des séjours de courte durée pour consolider ou mettre en place un projet de soin ou d’insertion. Trois des quatre centres accueillent ainsi des sortants de prison et font la transition entre le milieu carcéral et une proposition de soin adaptée à la personne. Ils permettent une rupture d’avec le cadre habituel et une stabilisation de la démarche de soin.

     

    Le soin résidentiel individuel

    ♦ Accueil des patients

    Les CSAPA peuvent également porter des dispositifs de soin résidentiel individuels :

    – Les Appartements Thérapeutiques (AT) : il s’agit d’un hébergement individuel qui vise l’inscription sociale du patient et le renforcement de son identité. Durant son séjour, la personne bénéficie d’un accompagnement thérapeutique, médical, psychologique et éducatif. Ils sont destinés à des personnes pouvant vivre seules et gérer a minima un quotidien.

    – Les Familles d’accueil permettent à des personnes en situation d’addiction d’être hébergées dans des familles. Elles permettent aux usagers de rompre avec leur quotidien, de retrouver un rythme de vie par l’intégration dans un milieu familial et de réapprendre les liens interpersonnels et sociaux. L’orientation vers une famille d’accueil est d’autant plus pertinente que l’usager ne souhaite pas intégrer une structure de soin résidentiel collectif sans pour autant vouloir vivre seul.

    – Les Appartements de Coordination Thérapeutique (ACT) ont été créés expérimentalement en 1994, pour la prise en charge de personnes touchées par le VIH-sida. Ils sont, depuis 2002, intégrés au secteur médico-social et financés par l’assurance maladie et ouverts à l’accueil de toute personne en situation de précarité touchée par une pathologie chronique invalidante (sida, hépatite, cancer, sclérose en plaque…). Les ACT proposent un hébergement à titre temporaire pour des personnes en situation de fragilité psychologique et sociale et nécessitant des soins et un suivi médical, de manière à assurer le suivi et la coordination des soins, l’observance des traitements et à permettre un accompagnement psychologique et une aide à l’insertion.

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  • Histoire de la cocaïne

    La cocaïne - histoire de la poudre blanche

    Jeune toxicomane faisant cocaine carte credit noire surface verre dans toilettes boite nuit apres fete 152404 10583

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  • Cyberaddictions

    Premières descriptions dans les années 90 mais
    absence de consensus et de critères diagnostics
    autours de ce concept
    * Manque de données épidémiologiques fiables
    * Sur 27 études réalisées entre 1998 et 2016 et dans 14
    pays d’Europe, 8 pays d’Asie du Sud-Est, les Etats-Unis,
    l’Australie: prévalence moyenne de 4,7 %

    Définition

    Usage addictif
    * Perte de contrôle
    * Intolérance à la frustration, sentiments de colère, tension et/ou
    dépression quand l’ordinateur n’est pas accessible
    * Isolement, délaissement autres activités
    * Envahissement vie psychique
    * Conséquences: scolaires++, professionnelles, familiales,
    sociales…
    * Plaisir è besoin
    * Tolérance
    * Tb comorbides

    Fuite du réel
    * Refuge, échappatoire à la réalité (Valleur et Vela)
    * Éviter d’affronter problèmes vie quotidienne / relations
    intersubjectives
    * Immersion dans le virtuel
    * MMORPG: sentiment d’identification très puissant
    ◆ Recherche de puissance et désir de contrôle
    * Maîtrise technique, du monde, de soi et de l’autre
    * Règles connues

    ◆ Recherche de sensation
    * Score plus faible pour jeux vidéo?
    * Combler l’ennui, le vide / évacuer tension
    ◆ Repli sur soi ou forme de sociabilité
    * Socialisation entre pairs et recherche identitaire
    * Parfois même thérapeutique
    * Forme de sociabilité particulière: faiblesse
    engagement, large extension, univers du jeu

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