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Les médecines douces et bien être
- Par cabinetyannbotrel
- Le 16/07/2021
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La médecine douce est une pratique médicale regroupant plusieurs disciplines de guérison traditionnelles et naturelles. Il s’agit donc d’une méthode de guérison moins invasive pour le corps, donc représentant pour ce dernier, moins de danger.
Si aujourd’hui, les méthodes de la médecine douce sont beaucoup plus utilisées pour prévenir certains maux. À leur genèse, elles avaient plutôt pour vocation de guérir proprement le corps et l’esprit.
Leur utilité aujourd’hui se trouve dans l’efficacité qu’elles offrent en matière de traitement de certains maux que nous rencontrons de plus en plus dans notre société ; des maux comme le stress, le surmenage, et les crises d’angoisse.
COMMENT LA MÉDECINE DOUCE PEUT-ELLE INFLUENCER VOTRE BIEN-ÊTRE ?
Selon les disciplines, la médecine douce est à même d’influencer votre bien-être, que ce soit sur le plan psychologique, que physiologique. En effet, que ce soit par des exercices physiques particuliers, ou par des séances de méditation, la médecine douce fait intervenir tout le corps dans le processus de guérison.
Il s’agit donc d’un type de traitement mené avec une approche holistique. Ceci permet donc d’être très efficace pour traiter les affections psychologiques comme le stress, le manque d’énergie, l’addiction et l’angoisse. Mais aussi des affections physiques comme les courbatures ou des douleurs articulaires.
L’essence même de la médecine douce, repose sur une recherche de bien-être. Pour ce faire, les méthodes utilisées ont pour but de permettre au corps d’éliminer par lui-même tout ce qui pourrait être une source de maladie. Cette méthode est d’autant plus efficace, qu’elle met en une synergie d’action, tous les composants du corps humain. Que ce soit le système locomoteur, le système psychologique et mental, le système sanguin et lymphatique, ou encore le système respiratoire. La médecine douce permet de créer une véritable harmonie vertueuse dans le corps du patient
L’autre point fort de la médecine douce, c’est qu’elle permet de traiter le mal à la source. Ceci est un véritable gage d’efficacité, qui inhibe tout risque de rechute ou de traitement inadéquat puisque chaque individu est pris en charge de manière personnalisée.
CAS PARTICULIERS :
Hypnothérapie et bien-être.
L’hypnose est une méthode assez vieille. Elle fut utilisée depuis l’antiquité par les prêtres et les magiciens à des fins diverses. De nos jours, il s’agit d’une discipline dont l’aspect ludique est de plus en plus affiché par des hypnotiseurs et des prestidigitateurs de renoms. Cependant, l’hypnose n’est pas qu’un moyen d’amuser la galerie. Il s’agit aussi d’un procédé médical à part entière qui permet de venir à bout des affections comme l’anxiété, les problèmes de confiance en soi, les troubles sexuels, et le stress. On parle donc dans ce contexte d’hypnothérapie.
Concrètement, l’hypnothérapie est une manière de permettre au patient de revisiter grâce au pouvoir de son subconscient, sa réalité, et de se défaire de certains blocages mentaux.
- Comment l’hypnothérapie peut-elle influencer votre bien-être ?
La réponse à cette question est assez simple. Il est convenu que l’essence de tous les maux qui frappent le corps (surtout l’aspect psychologique et mental) a une source profonde dans l’inconscient du patient. La clé de sa guérison est donc d’identifier la source du mal, et de faire en sorte que le patient puisse débloquer la situation par lui-même.
L’hypnothérapeute apparaît donc comme un guide, à même de conduire le patient à travers les méandres de son subconscient, afin que ce dernier puisse trouver les réponses dont il a besoin.
- Pour quelle pathologie, l’hypnothérapie est-elle pertinente ?
L’utilisation de l’hypnothérapie est pertinente pour tout ce qui concerne l’aspect mental et psychologique d’un patient.
En d’autres termes, l’hypnothérapie permet de venir à bout des crises d’angoisse et de stress, mais aussi des problèmes d’addiction.
En effet, les problèmes d’addiction résultent souvent d’un déséquilibre survenu dans les processus mentaux du patient, inhibant ainsi, à un certain niveau, sa volonté.
L’hypnothérapie peut aussi être conseillée en cas de douleurs chroniques.
QUEL CHOIX ENTRE LA MÉDECINE CONVENTIONNELLE ET LA MÉDECINE DOUCE.
Les rapports entre la médecine conventionnelle et la médecine douce ne sont pas toujours évidents. En effet, certaines disciplines de la médecine douce, tardent à convaincre les médecins. Cependant, les relations entre ces deux philosophies médicales évoluent ces dernières années dans le bon sens.
En effet, la médecine conventionnelle reconnaît volontiers les effets apaisants des méthodes de médecine douce. D’ailleurs, la médecine douce est dorénavant conseillée comme complément de traitement pour certaines pathologies. Ce mélange des deux méthodes est assez efficace, vue qu’il apporte une prise en charge beaucoup plus globale du patient.
Par ailleurs, le nombre des adeptes de la médecine douce augmente de jour en jour, et pour cause.
La médecine douce, contrairement à la médecine conventionnelle, n’admet pas de produit chimique dans ses moyens de traitement. Il s’agit donc d’une approche médicale très peu invasive et dangereuse pour le patient.
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Une journée pour arrêter - rentrée 2021
- Par cabinetyannbotrel
- Le 12/07/2021
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Avec un groupe de 12 personnes maxi, une journée ensemble pour arrêter de fumer pour le prix d'une cartouche de tabac !
Connaître les mécanismes de l'addiction, motivation de groupe, 2 séances d'hypnose de groupe.
Dans un cadre proprice, proche de Lyon !
Renseignements : contact@yann-botrel.fr
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Alcool, motivation et changement
- Par cabinetyannbotrel
- Le 26/06/2021
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Majorité des personnes avec consommation
ou comportement problématique capacité
de modifier sans aide professionnelle.
le besoin d’aide spécifique concerne une
minorité (<10%).
Dans la majorité des cas, le changement est
naturel = règle et non exception -
La psychiatrie en France
- Par cabinetyannbotrel
- Le 23/06/2021
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La psychiatrie en France a beaucoup évolué depuis ses origines, notamment avec la révolution de la pharmacopée des psychotropes (invention du premier neuroleptique en 1952), et la mise en place du principe de sectorisation depuis 1960. La baisse des crédits et des effectifs affectés à la psychiatrie hospitalière, et notamment la baisse du nombre de lits disponibles, qui sont passés de 120 000 lits au début des années 80 à 55 000 lits en 2011, ont fait l'objet d'un certain nombre de critiques, une partie de la population relevant de soins psychiatriques se retrouvant incarcérée dans des établissements pénitentiaires, ou à la rue et encore encore dans des établissements médico-sociaux où ces malades n'ont pas leur place.
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Les drogues de synthèse - Addictologie Lyon
- Par cabinetyannbotrel
- Le 16/05/2021
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Les nouveaux produits de synthèse (NPS) sont des substances psychoactives qui tentent de reproduire les effets de produits illicites existants tels que l’ecstasy/MDMA, les amphétamines, la cocaïne, le cannabis, le LSD... Mais la plupart sont beaucoup plus puissants, plus dangereux et plus addictifs que les drogues qu’ils imitent.
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Les meilleurs hypnothérapeutes de Lyon
- Par cabinetyannbotrel
- Le 09/05/2021
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Comment déterminer si un hypnothérapeute est « bon » et un praticien en général ? Je pense que généralement il n'y a pas de mauvais praticien mais il faut trouver celui avec qui le courant passe le mieux, celui ou celle qui vous mettra en confiance pour avancer dans le processus de la guérison ou de la connaissance de soi.
Certains de mes patients sont allés consulter des dizaines de thérapeutes sur Lyon, qu'ils soient qualifiés en hypnose, psychologues, psychiatres, addictologues, médecins de divers spécialités. Certains ont simplement réussi à trouver les mots qu'il fallait, ceux qui résonnent auprès de leurs patients, ceux qui provoques le déclic.
Choisir son praticien à Lyon
L'hypnothérapie est une profession non réglementée ce qui implique de la prudence dans le choix du praticien. Tout d'abord, un site internet est un bon point de départ pour jauger de la crédibilité du professionnel. Les tarifs doivent être clairs, sans promesses miraculeuses. Fuyez celles et ceux qui vous promettent des pourcentages de réussites sur des méthodes qui n'ont fait l'objet d'aucune étude digne de ce nom.
Si je reconnais bien volontiers que beaucoup de thérapeutes autodidactes peuvent être plus pertinents que certains médecins peu empathiques, une base médicale ou paramédicale me paraît plus appropriée dans les différentes thérapeutiques. Il m'est arrivé de « récupérer » des patients dans un état catastrophique après avoir écouté des théories fumeuses inventés par on ne sait qui.
Renseignez vous sur les compétences et formations du thérapeute, ne croyez pas tout sur pièce, vérifiez ! Les avis « google » peuvent être une bonne indication mais ont leurs limitent et imposent aussi la prudence, en revanche, le bouche à oreille est souvent le gage d'une sécurité de prise en charge.
Le cabinet Yann Botrel, spécialisé en addictologie sur Lyon et sa région vous accueille pour des séances d'hypnoses et thérapies brèves en toute sécurité.
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Tout savoir sur le tabac
- Par cabinetyannbotrel
- Le 01/05/2021
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Le tabac est un produit psychotrope manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes de tabac commun (Nicotiana tabacum), une espèce originaire d'Amérique appartenant au genre botanique Nicotiana (famille : Solanaceae).
L'usage du tabac s'est largement répandu dans le monde entier à la suite de la découverte de l'Amérique. Sa commercialisation est souvent un monopole d'État et soumise à des taxes qui varient fortement selon les pays.
Le tabac génère une forte dépendance et sa consommation est responsable de près de 6 millions de décès par an dans le monde dont 600 000 sont des non-fumeurs exposés à la fumée (tabagisme passif). De nombreuses maladies sont liées au tabagisme (maladies cardiovasculaires et cancers, entre autres).
En 2019, la France a produit 5 320 tonnes de tabac brut sur une superficie de 2 050 hectares, contre 6 910 tonnes sur 2 620 hectares en 2018 ; c'est le 8e producteur de l'Union européenne après l'Italie, la Pologne, l'Espagne, la Grèce, la Croatie, la Bulgarie et la Hongrie. La profession est organisée autour de cinq coopératives, pour un chiffre d'affaires estimé à moins de 30 millions d'euros en 2018 ; à titre de comparaison, la valeur de la production agricole française était de 74,6 milliards d'euros en 2020.
Lorsque Christophe Colomb arrive en Amérique en 1492, il constate que les Indiens utilisent le tabac pour ses propriétés magiques et médicamenteuses. André Thevet en rapporte des graines et la culture du tabac commence en Europe.
En 1492, lors de son expédition en Amérique, Christophe Colomb découvre le tabac et le rapporte en Europe, à la Cour espagnole et portugaise, où il est pendant longtemps utilisé comme simple plante d'ornement. Ce n'est qu'au milieu du xvie siècle que le médecin personnel de Philippe II d'Espagne commence à le promouvoir comme « médicament universel ». La première description écrite serait le fait de l'historien espagnol d'Oviedo.
Il est introduit en France en 1556 par un moine cordelier, André Thevet qui au retour de son séjour au Brésil, en fit la culture dans les environs de sa ville natale d'Angoulême. On l'appelle alors « herbe angoulmoisine » ou « herbe pétun ».
Dès 1775, les premiers soupçons de relation entre tabac et cancer sont exprimés
Les conséquences
Il n'y a pas de seuil en deçà duquel on peut fumer sans risque. Les fumeurs occasionnels ont eux aussi de gros risques pour leur santé, au niveau cardio-vasculaire surtout (infarctus, AVC, embolie pulmonaire, phlébite,...).
Fumer une cigarette par jour comparé à quelqu'un qui fume vingt cigarettes par jour ne diminue pas le risque par 20 mais seulement par deux ...
C'est plus la durée d'intoxication au tabac que la quantité consommée qui est importante de prendre en considération.
Sans compter que le risque de poursuivre un tabagisme occasionnel multiplie les (mal)chances de re-devenir dépendant avec toutes les conséquences qui pourraient suivre et que cela engendre une augmentation de consommation.
La nicotine : substance de la dépendance
Présente naturellement dans le tabac, la nicotine est la molécule responsable des syndromes de manque et de dépendance. Elle agit directement sur votre système nerveux et provoque une dépendance puissante, parfois supérieure à celle de la cocaïne ou de l’héroïne. Une fois inhalée, la nicotine met quelques secondes pour arriver au cerveau. Diffusée sous forme de shoot via la cigarette, elle a un effet anxiolytique, coupe-faim et stimulant.
La nicotine contenue dans les substituts nicotiniques est diffusée de manière lente et progressive de manière à soulager les symptômes de manque, sans provoquer le pic de plaisir et donc entretenir la dépendance. Dans ce cas, les effets de la nicotine liés au tabagisme ne sont pas ressentis. La nicotine n’est pas cancérigène, ce sont les produits chimiques dégagés par la fumée de cigarette qui sont véritablement nocifs pour la santé.